Vatican : Une sculpture pro-immigration dépeint Joseph et Marie en juifs talmudiques

Le 29 septembre 2019, le pseudopape François a dévoilé une nouvelle sculpture située sur la place Saint Pierre au Vatican. Intitulée « Angels unawares » (les anges inconscients), cette sculpture, réalisée par l’artiste canadien Timothy Schmaltz, est une ode à l’idéologie immigrationiste si chère à l’usurpateur résidant actuellement à Rome. Avoir de la compassion pour les malheureux, les réfugiés, ceux qui fuient la guerre et la misère est une chose juste et bonne, et l’Eglise a prouvé, en 2000 ans d’histoire, qu’elle s’était toujours souciée de ces personnes, conformément à l’enseignement biblique. Mais il va sans dire que les chefs de la secte moderniste ont totalement corrompu la saine notion de charité pour remplacer celle-ci par une délirante idéologie socialisante et globaliste, occultant le fait que les phénomènes migratoires des dernières décennies comportent des paramètres propres au contexte mondial contemporain : immigration illégale, installation dans l’ex-chrétienté (notamment détruite par la secte moderniste) de millions de musulmans et d’autres infidèles, désordres causés par la société dite multiculturelle, etc. Toutefois, alors que François, en bon populiste, s’exprime régulièrement avec enthousiasme en faveur de l’immigrationisme radical, sans aucune considération pour les problèmes engendrés par ces phénomènes, il n’est pas allé jusqu’à mettre les appartements qu’il occupe lui-même illégalement à la disposition des centaines de personnes qui débarquent chaque semaine en Italie, en grande partie de façon illicite. Au lieu de cela, en bon hypocrite, il se contentera de montrer aux journalistes du monde entier sa nouvelle œuvre d’art.

On apprend par le site du Vatican occupé que cette sculpture est une commande de la contre-église pour commémorer la 105e journée mondiale des migrants et des réfugiés.

Pas farouche, l’artiste, qui a déjà réalisé de nombreuses commandes pour la secte moderniste, déclare, sans s’apercevoir de l’ironie de sa déclaration : « C’est une chose de se dire en faveur de l’accueil, mais le montrer par une sculpture en bronze sur la place Saint Pierre, c’est quelque chose de vraiment puissant », a-t-il déclaré aux journalistes de la BBC. Ce qui a vraiment dû être puissant, c’est le montant du virement sur son compte en banque. Montant logiquement déduit du trésor de l’Eglise dont ces malandrins de clandestins modernistes profitent depuis trop longtemps.

On apprend dans le même article de la BBC que François a manifesté avec une grande émotion sa satisfaction lors de la découverte de l’œuvre. Schmaltz confirme en effet :

Il a mis ses deux mains sur son cœur et m’a regardé pendant un moment. Par ce geste, il m’a réellement montré à quel point il pense que cette sculpture est conforme à ses idées.

Et justement, cette sculpture n’exprime pas seulement l’idéologie immigrationiste du chef moderniste. Elle exprime plus généralement l’esprit moderniste de Vatican 2, sur un point bien précis. On sait que François, comme tous les modernistes, entretient une vision totalement naturaliste de la Révélation et des saintes personnes. On sait aussi que François avait un jour indifféremment assimilé la Sainte Famille fuyant en Egypte, aux millions de migrants déferlant sur l’Europe ces dernières années. Certes, on peut et on doit avoir de la compassion pour ceux d’entre eux qui fuyaient réellement la guerre ou un danger de mort inique, mais chacun sait qu’un grand nombre de ces migrants étaient essentiellement des clandestins illégaux. De plus, François a beaucoup parlé de ces migrants de toutes sortes, mais n’a jamais exprimé beaucoup de considération pour les chrétiens persécutés d’Irak, de Syrie ou du Nigéria. C’est que, pour les modernistes, il n’est pas question de défendre la foi catholique et par conséquent, il n’y pas de différence entre un migrant chrétien et un migrant infidèle, puisque la société, selon les modernistes, ne doit pas être ordonnée à la Royauté Sociale de Jésus-Christ, mais aux doctrines indifférentistes et libérales de Dignitatis Humanae. D’ailleurs, l’article de Vatican News signale, à propos de la sculpture, que « parmi cette foule diverse de gens, des ailes d’anges émergent au centre, suggérant la présence de quelque chose de sacré parmi eux. En fait, la sculpture exprime la croyance selon laquelle le sacré se trouve chez l’étranger, et dans ce cas-ci, chez les réfugiés et les migrants ». On nage effectivement en plein indifférentisme, voir en plein panthéisme immanentiste sous forme d’art, tout en abusant totalement le sens réel des stances bibliques. D’ailleurs, tous les personnages de la sculpture se tiennent sur un bateau. C’est le peuple de Dieu en marche, selon le syncrétisme moderniste : toutes les sectes et religions recèlent l’étincelle du divin, de la révélation.

Or, on apprend, par cet article de la BBC, que la sculpture de Schmaltz inclut surtout une représentation absolument scandaleuse et impie de Saint Joseph et de la Très Sainte Vierge Marie, qui apparaissent sous les traits d’un couple de juifs talmudiques d’Europe de l’est ! C’est même ce couple qui est en tête du cortège de migrants, ce qui est un drôle d’aveu par ailleurs. C’est surtout, une fois encore, l’aveu de l’expression typiquement moderniste de cette œuvre, où l’on tente de faire croire, de façon blasphématoire, que la foi des Judéens fidèles comme Saint Joseph et la Sainte Vierge Marie, aurait quelque chose à voir avec les croyances abominables du judaïsme talmudique, une religion apostate qui n’a rien à voir avec les Juifs de l’Ancien Israël.

En bref, une statue qu’il faudra faire dynamiter ou faire fondre, si Dieu permet un jour prochain la libération de Rome.

 

Articles recommandés

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *