Rédaction du Fide Post Si la crise sanitaire frappe durement le petit entrepreneur et l’employé précaire, elle n’affecte pas les dealers. Des rapports confidentiels de la police judiciaire mettent en évidence une croissance sans précédent du trafic de drogue en France. « L’Obs » a pu consulter en exclusivité un rapport confidentiel du service de renseignement de la police judiciaire (PJ), le Service d’Information, de Renseignement et d’Analyse stratégique sur la Criminalité organisée (Sirasco).
Chaque année, cet organisme dessine une cartographie précise de tous les groupes criminels actifs sur le territoire français. Dans sa dernière édition, établie à partir des données recueillies en 2018, ses experts pointent une augmentation du trafic de stupéfiants de 300 % depuis 2000.
Une criminalité qui, selon les analystes de la PJ, demeure encore « sous-estimée » par les décideurs publics, alors qu’elle contribue « au délitement du lien social dans les quartiers sensibles », favorise « les replis communautaires » et rejaillit « sur la stabilité des institutions ».
En clair, le trafic de drogue, plus ou moins volontairement favorisé par les régimes corrompus de la 5e République, ainsi que certaines mairies de banlieue, génère de l’insécurité pour les riverains des quartiers concernés ; développe et banalise une culture criminogène dans la jeunesse, notamment d’origine immigrée ; favorise grandement des économies parallèles aujourd’hui extrêmement riches ; et généralise la culture du clientélisme et de la corruption.
Pour ce dernier point, les élites politiques de la 5e république, de droite comme gauche, ont souvent démontré être d’excellents IENCLIS.
En cet automne 2020, rien ne semble pouvoir arrêter les trafiquants, même pas le coronavirus. « Ils sont extrêmement agiles, souligne un commissaire affecté à la lutte antidrogue, ils se réinventent à chaque fois que nous marquons un point. »
En effet, depuis la fin des années 2000, le trafic de drogue s’est complètement restructuré en France : gestion des fours selon les dernières méthodes de marketing à la mode, livraison à domicile, communication sur les réseaux sociaux, organisation pointue de la surveillance des « raintés », recrutement des « tipeux ».
Il faut ajouter à cela une certaine culture musicale et télévisuelle qui glorifie le truand moderne et l’argent facile, tout en méprisant le smicard, ainsi que l’abjecte culture mentale des gouvernements de la 5e République, mais aussi d’une partie considérable de magistrats.
Et tandis que la génération X et celle des millenials fût plus affectée par les drogues de type marijuana, les récentes années ont vu une banalisation croissante de drogues jadis perçues comme moins accessibles, telles que la cocaine.
Ceux qui pensent que le trafic, la criminalité organisée et la délinquance en général en France, seront réglés par l’actuel régime, sont naïfs ou idiots. Une bonne partie de la classe politique de la 5e République est complice.
Pour résoudre ce problème, il faut pulvériser ce régime. Seul un gouvernement catholique et jusnaturaliste peut y arriver avec justice et fermeté.
[…] que des rapports confidentiels des services de renseignements de la Police Judiciaire indiquent une explosion du trafic de cocaïne et de marijuana en France en ce moment même, le préfet des Bouches-du-Rhône, Emmanuel Barbe, a indiqué sur BFM TV s’être rendu sur des […]