[Brèves] 7 effets inattendus du Coronavirus dont personne ne parle

Pour nous catholiques, tout est dans la main de Dieu. Peu importe l’origine exacte du Coronavirus, peu importe qu’il s’agisse d’un virus ayant malencontreusement fuité d’un obscur laboratoire, peu importe qu’il s’agisse d’une arme biologique sciemment propagée pour l’instauration d’un nouvel ordre mondial, le coronavirus a déjà indirectement causé des réactions telles qu’on ne les aurait pas imaginées il y a encore deux mois. A tout malheur, il y a parfois un bien à tirer. Voici 7 effets inattendus du coronavirus dont personne ne parle.


7/ Le monde impie se rappelle soudainement qu’il y aura une mort et un jugement

Comme le disait le professeur Gilbert Deray tout dernièrement, on a jamais vu un tel mouvement de panique international, alors que bien d’autres cas de virus similaires ont été traités dans un calme relatif ces dernières décennies. Justifiée ou non, cette panique est réelle. Même certains médias mainstream se rappellent soudainement que le salut vient ultimement de Dieu.


 

6/ En plein mois de carême, le monde impie est confiné hors de ses certitudes

Depuis le péché originel, l’esprit de ce monde est en révolte contre Dieu et les hommes ingrats se sont trop souvent détournés du Créateur. Le paganisme des temps anciens était foncièrement mauvais, mais le paganisme de nos sociétés actuelles ajoute aux mœurs impures, le mépris froidement revendiqué de toute loi naturelle et plus encore, de toute vérité catholique. Le mois de Juin 2019, au lieu d’être consacré au Christ Roi, fut un déferlement mondial d’ignominies LGBT célébrées par les grands financiers et les grands gouvernants du monde jadis civilisé. On vit pour la première fois une offensive hallucinante sur l’enfance elle-même, avec l’intégration de tous les thèmes LGBT/transgender jusque dans les dessins animés et dans les films de jeunesse. On vit les plus grands médias du monde faire la promotion éhontée d’enfants « drag queen ». Finalement, on vit une fois encore cette époque mépriser le jour de la naissance du Sauveur. Naturellement, ce monde-là, ayant largement dépassé les outrances de Sodome, était très peu disposé à entrer en pénitence et faire carême, pour faire honneur au Rédempteur. D’une certaine façon, le coronavirus a pris par surprise un monde ivre de confort et de certitudes, le forçant à faire retraite de son abondance de plaisirs coupables et de son arrogante complaisance avec les forces du mal. D’une unisson inconsciente, tous ont décidé de se mettre en quarantaine jusqu’à la date très symbolique du 3 avril.


 

5/ Propagande LGBT à l’arrêt, les prostituées au chômage forcé et sites de porno désertés

Soudainement, donc, tout le monde ne parle plus que du coronavirus. D’abord incrédules ou plus exactement indifférents, les petits dictateurs sociétaux ont dû se rendre à l’évidence, ravaler leurs revendications subjectivistes et émotionnelles et prendre leurs jambes à leur cou. Certains d’entre eux comprennent enfin que forcer les professeurs de leur lycée à les appeler IL/ELLE en classe était vraiment une pathétique vanité à l’heure où le gouvernement ferme tous les établissements scolaires du pays. Et si ces pauvres fous pensaient pouvoir outrepasser la réalité biologique elle-même, le coronavirus vient de leur rappeler que leur style de vie est une abomination contraire à la nature. Dans les rues également, malgré l’outrecuidance des macros et des trafiquants de pauvres filles, la prostitution connait un coup d’arrêt. Les clients, habituellement peu inquiets du salut de leur âme et de celle des « dames de la nuit », sont contraints d’éviter tout contact avec leurs habituels lieux de débauche. Le coronavirus les effraie plus que la perdition, ou que les maladies vénériennes. Enfin, et c’est une petite victoire assez surprenante, l’infecte industrie du porno, l’une des plus importante de l’internet (ce qui en dit long sur notre époque, connait un certain ralentissement depuis quelques jours, visiblement en raison de la pandémie, ceci malgré les tentatives diaboliques de corrompre l’Italie meurtrie. La Chine, quant à elle, a carrément décidé d’interdire les sites pornographiques dans les zones en quarantaine. Décidément, c’est comme si nos contemporains se rendaient soudainement compte de la brièveté de la vie. Espérons que cette victoire sera durable pour la team #antiporno.


4/ La surcharge des hôpitaux met un coup d’arrêt aux avortements en Europe

C’est l’affirmation du mouvement pro-vie irlandais. Il y a peut-être un peu de wishful thinking là-dedans, mais il y a aussi une probable vérité. En Italie du Nord, le personnel hospitalier est dans l’urgence permanente et croule littéralement sous le nombre de personnes à prendre en charge. On sait que divers responsables politiques ont demandé aux responsables hospitaliers de restreindre drastiquement toutes les opérations médicales dispensables. Le meurtre d’un enfant à naître est clairement un crime TRÈS dispensable. On peut donc penser qu’effectivement, une légère baisse des avortements puisse être constatée. Seuls les chiffres exacts nous le dirons, mais on espère très fort que cette épidémie qui répand la mort, provoquera indirectement le maintien de la vie.


3/ Le réel rattrape l’idéologie sans-frontièriste des élites mondialistes

Dans le système de croyances du monde néo païen, les limites n’existent plus, surtout les limites morales. On pensait qu’il existait encore quelques idoles suprêmes intouchables, mais même celles-ci doivent s’incliner devant la marée virale. Dans ce système de croyances sans limites, on a bouleversé les frontières morales, et on a donc logiquement bouleversé les frontières les plus élémentaires, celles des états. Au moment même où le facétieux Erdogan bombardait la Grèce avec quelques paquets de pauvres migrants clandestins, au moment même où la pathétique incurie des élites de l’Union dite « européenne » exposait une fois encore toute l’incompétence et la traîtrise de ces misérables, le coronavirus s’est soudainement engouffré dans la brèche. Les beaux discours des derniers tarés jusqu’au-boutistes n’ont pas tenu longtemps face au réel. Ils avaient à peine terminé leur énième ode contre l’horreur du protectionnisme national, qu’ils bouclaient le pays tout entier, et surtout leurs propres logements cossus. Toutefois, si cette caste de médiocres hypocrites ont longtemps fait subir à la société les cohortes de clandestins qu’ils tenaient à distance de leurs portes cochères, le coronavirus, lui, est un passe muraille. Plusieurs personnalités politiques ayant été promptement testées positives au COVID 19, notamment des épouses de caciques libéraux, on peut espérer pour eux que ce ne sera là qu’une leçon pratique sans frais, dont ils sauront en tirer quelque enseignement. Evidemment, on n’y croit guère.


2/ Le coronavirus fait exploser la bulle financière et les modèles économiques à bout de souffle

Depuis 2008, les places financières d’Asie et d’Occident, surtout celles de New York, étaient en bull run permanent, excessif, délirant, parabolique. Or, en analyse technique, toute tendance parabolique se termine en raising wedge, et donc en dump, en correction massive. Le tout était de savoir quand. On crut que le moment était venu en 2018, après une année de pump permanent. En 2019, on se mit à parler un peu partout de crise imminente : bulle de l’immobilier, bulle des dettes étudiantes américaines, dettes des états, etc. Bizarrement, personne ne portait vraiment attention aux éléments techniques les plus évidents. Quoiqu’il en soit, la tique du coronavirus est venue faire exploser cette gigantesque bulle financière mondiale sans crier gare et de façon violente. Comme un ouragan, comme une pandémie, comme une pluie de criquets sur les cultures d’Orient. En y pensant bien, cette bulle aurait bien pu encore continuer un mois ou deux. Le coronavirus fut l’aiguille parfaite. Peut être trop parfaite, diront certains. C’est un autre sujet.


1/ Le coronavirus fait plier le genou à l’antipape Bergoglio

Ce monde peut donc trembler pour sa santé, pour ses possessions, pour son pouvoir ou pour ses dogmes impies, mais il manque de toucher au trésor le plus inestimable de tous les temps. Ce monde n’écoute plus les catholiques et c’est une grave erreur, car nous saurions bien indiquer à nos contemporains les moyens de soulager leurs turpitudes. Certes, nous sommes pauvres, nous sommes bien peu nombreux, nous sommes largement moqués ou au mieux oubliés. Mais nous savons l’un des secrets les mieux gardés de l’époque : nous savons qu’au Vatican, s’agitent depuis soixante ans une coterie d’imposteurs. Sans doute les plus grands imposteurs de tous les temps. Leur actuel représentant est Bergoglio, lequel se fait passer pour pape, à l’instar de ses cinq prédécesseurs et complices. Avec ces derniers, Bergoglio a contribué à diffuser la plus mortelle et la plus dévastatrice de toutes les pestes de tous les temps. Une peste qui atteint les profondeurs de l’âme et qui a causé des millions de morts, en quelques décennies. On appelle cette peste le modernisme, et son laboratoire fut Vatican 2. Si on ne connait pas avec précision l’origine du coronavirus, on connait avec certitude l’origine de la peste moderniste. Nous avons les preuves, les documents, tout. Comme ses prédécesseurs, Bergoglio est un artificier redoutable. Il n’attaque pas avec des armes biologiques, mais avec des armes spirituelles, ou plus exactement, anti spirituelles. Il est inutile de faire ici la liste de tout son arsenal, nous et d’autres en ont déjà exposé les brevets, les mécanismes et les applications. Fidèle à sa science, Bergoglio faisait un point d’honneur à ne jamais sacrifier certaines convictions profondes aux nécessités de son imposture. Qu’il apparaisse en costume blanc, levant le bras sur les balcons du Vatican suffisait bien à duper les pauvres masses. Par contre, pas question pour lui de s’agenouiller devant le Saint Sacrement. Il ne faudrait tout de même pas qu’on le prenne pour un catholique. Or, contre toute attente, et peut être parce qu’il se sent encerclé par ce coronavirus qui menace partout en Italie, Bergoglio parait retrouver quelques reflexes, dignes de son baptême. Le voici à genoux, implorant le Créateur de faire cesser la plaie du coronavirus. Oui, une fois encore, voici un petit « miracle », le coronavirus a fait tomber à genoux l’un des plus grands criminels de notre temps.

Pendant ce temps, autre petit miracle, l’abominable rite Novus Ordo, une des variantes les plus pernicieuses du virus moderniste, a été temporairement éradiqué par le coronavirus. Si nous ne sommes pas encore parvenus à déloger l’intrus du Vatican, une solution inattendue apparaît : voici l’intrus laissé seul, comme abandonné, bénissant le vide, comme il convient à ses croyances cosmiques, lui qui ne bénit point la sainte religion catholique.

Qu’il plaise à Dieu de nous faire grâce de plus grands miracles encore : que Bergoglio se convertisse avant son trépas, que les modernistes soient balayés de la surface de la terre, qu’un vrai pape soit élu et que le peuple catholique rentre à nouveau et comme un seul corps dans les églises, depuis trop longtemps dévastées par le virus Vatican 2.

 

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