Un des miracles les plus grands de tous les temps. Les analyses scientifiques dont il est question dans ces vidéos ont été faites, entre autres, par la NASA et un prix nobel de chimie, le professeur Richard Kuhn. Aucune de ces études n’a pu réfuter la réalité de ce miracle. Notre Dame de Guadeloupe, priez pour le salut des Amériques.
Assurément du jamais-vu à la télévision. Le Docteur José Galat Noumer est un célèbre universitaire colombien, auteur, conseiller politique et figure médiatique incontournable dans son pays. Il est le cofondateur de Teleamiga, une importante chaîne de télévision « catholique » (novusordo) qui diffuse à des millions de téléspectateurs chaque jour dans le monde hispanophone. Dans l’émission « Un Cafe con Galat » qu’il anime toutes les semaines sur cette chaîne, le Dr.Galat a diffusé un véritable réquisitoire contre toutes les hérésies de Bergoglio…et le qualifie clairement de faux pape. Loin d’être une courte critique, cette émission s’étend sur plus de 90 minutes et passe en revue toute la carrière de l’hérésiarque. Cette émission, diffusée le 18 aout 2017 (peu de temps avant la visite de François en Colombie), fut intitulée fort à propos : « Le passé hérétique de Bergoglio est juste le présent de François ».
https://youtu.be/NWClMZi1rIA
Commentaire important : Il est exact que le Dr.Galat ait été critique contre François au point de se faire publiquement admonester par les « évêques » colombiens dans un communiqué du 25 juin dernier. Ces derniers, revenant soudainement à une certaine rigueur, déclarèrent que Galat était dans une attitude schismatique et qu’il s’excommuniait tout seul, ce à quoi répondit l’interressé dans son émission quotidienne par un épisode intitulé « Les excommuniés ne peuvent excommunier personne ». La réalité est que le Dr.Galat est l’un de ces conservateurs novus ordo qui a été profondément troublé par le modernisme franc-du-collier de François : il met en doute la légitimité de Bergoglio et prétend à un vice de forme de son élection en raison de l’appartenance de ce dernier à l’aile gauche de la secte Novus Ordo, aussi appellée « Mafia ou Club de Saint Gallen », faction qui a poussé vers la sortie le peu télégénique Benoit XVI.
En bref, le Dr.Galat n’est pas un catholique (cad. ayant adopté la position sédévacantiste dans la situation actuelle) mais l’un de ces « résignationnistes », c’est à dire un de ces ces conservateurs novus ordo qui, abasourdis par le style de Bergoglio, pensent que c’est Benoit XVI qui est toujours le vrai pape. Naturellement, le « résignationnisme » est une position parfaitement absurde, puisque Benoit XVI comme nous le savons, et de même que les 5 autres antipapes de Vatican 2, fut un hérétique notoire et un ennemi de la Foi catholique tout aussi radical que Bergoglio…mais à peine plus discret.
Nous sommes très certainement loin de tenir le non-chrétien Michel Onfray pour un écrivain à recommander. Ce qu’il exprime dans cet extrait vidéo est toutefois très intéressant et pertinent. Dans une intervention datant de 2016, l’essayiste se remémore les premières « messes » novus ordo dans son enfance. Pour un laïc non-chrétien, Onfray résume remarquablement bien la manifestation pour le coup ontologique de l’invalidité du rite novus ordo de Paul VI. Même un apostat comme Onfray a pu, non seulement sensiblement, mais aussi raisonnablement, observer que cette messe n’était en aucun cas catholique.
Magníficat ánima méa Dóminum,
Et exultávit spíritus méus in Déo salutári méo.
Quia respéxit humilitátem ancíllæ súæ,
ecce enim ex hoc beátam me dícent ómnes generatiónes.
Quia fécit míhi mágna qui pótens est :
et sánctum nómen éjus
Et misericórdia éjus a progénie in progénies timéntibus éum.
Fécit poténtiam in bráchio súo :
dispérsit supérbos ménte córdis súi.
Depósuit poténtes de séde,
et exaltávit húmiles.
Esuriéntes implévit bónis :
et dívites dimísit inánes.
Suscépit Israël púerum súum,
recordátus misericórdiæ súæ.
Sicut locútus est ad pátres nóstros,
Abraham et sémini éjus in saécula.
Glória Pátri et Fílio
et Spirítui Sáncto,
Sicut érat in princípio, et nunc, et sémper,
et in saécula sæculórum. Amen.
Mon âme exalte le Seigneur, Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles : Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël, son serviteur ;
il se souvient de son amour,
De la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais. Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit, Maintenant et à jamais, dans les siècles des siècles. Amen.
Cette vidéo présentée par Fide Catholica (merci encore au talentueux auteur L. de B. qui l’a écrite et réalisée) expose les hérésies contenues dans le document « Amoris Laetitia » publié par le pseudopape François en mars 2016. Cette vidéo expose également la réaction fondamentalement illogique de la fameuse « dubia » de quelques « cardinaux » conservateurs comme Raymond Burke. Vous pouvez également retrouver l’essentiel des références citées dans cette vidéo dans notre article exposant les mêmes hérésies.
Le monachisme chrétien est pratiqué depuis l’Antiquité de l’Eglise. Il trouve son origine dans la tradition évangélique et les pratiques spirituelles pré-évangéliques. Les moines et les moniales, au sein d’un ordre monastique, suivent en général une règle dont la plus ancienne est la règle de saint Augustin et la plus répandue celle de saint Benoît. La vie monastique, le plus souvent au sein d’un monastère ou d’un couvent, qui peut être une abbaye lorsqu’il est dirigé par un abbé (de l’araméen « abba« , père)ou une abbesse, connaît deux formes principales : le cénobitisme (vie en communauté) et l’érémitisme (du grec eremos, désert : vie en solitude).
http://www.youtube.com/watch?v=gBzDsjUdrsI
Dans l’Europe occidentale, le monachisme fait son apparition à partir du delta du Rhône, dans les régions évangélisées dès les temps apostoliques : Marseille, îles de Lérins, Arles, et remontera dans le couloir rhodanien. De nombreuses figures encore très populaires, ne serait-ce que dans les noms de localités marquent ce monachisme : saint Martin de Tours, évêque de Tours, saint Césaire d’Arles… Ces personnages sont caractéristiques de la première période du monachisme où les abbés les plus fameux devenaient évêques, portant par là-même l’abbaye idéale au rang de modèle tant dans l’architecture que dans la morale, ou la discipline du clergé séculier, c’est-à-dire les prêtres des paroisses. À dater de cette période, les évêques et les abbés sont représentés avec les mêmes attributs : crosse épiscopale, mitre, anneau, et croix pectorale.
Saint Paul de Thèbes et Saint Antoine l’Ermite
Étymologiquement, le moine est celui qui vit seul, mais le mot a pris un sens plus large et s’applique à tous ceux qui se séparent de la société des hommes (le monde) pour se consacrer par la prière au service de Dieu, qu’ils vivent isolés, « ermites » et « anachorètes », ou groupés dans un monastère, « cénobites ». La diversité du monachisme occidentale est donc très grande. Le monachisme est la mise en pratique de la parole du Christ : « Si quelqu’un veut être mon disciple, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. ».
Certains détails sur la vie de Romain le Mélode sont fournis par le Menaion du mois d’octobre qui rappelle comment il reçut son don pour l’hymnographie2. Il est mentionné par le poète saint Germanos au viiie siècle et on le retrouve dans la Souda sous le nom de « Romanos le Mélode ». Saint Romain est fêté le 1er Octobre par l’Eglise catholique.
On sait qu’il naquit dans une famille juive d’Émèse (aujourd’hui Homs en Syrie) et qu’il fut baptisé alors qu’il était encore enfant (on ignore toutefois si toute la famille se convertit). Il déménagea par la suite à Bérytos (l’actuelle Beyrouth au Liban) où il fut ordonné diacre de l’église de la Résurrection. Peu de temps après, il devait s’installer à Constantinople où il occupa le poste de sacristain dans « la Grande Église » (Sainte-Sophie), tout en résidant au monastère de Kyros où il demeura jusqu’à la fin de sa vie et où il fut enterré auprès de son disciple, saint Ananias.
Si les dates de sa naissance et de sa mort sont exactes, il aurait vécu sous les règnes des empereurs Anastase Ier (491–518) et Justinien Ier (527-565) qui composa lui-même de nombreuses hymnes et aurait été le contemporain de deux autres hymnographes réputés, Anastasios et Kyriakos.
On dit que Romain composa plus de 1 000 hymnes ou kontakia devant être chantées à diverses fêtes religieuses ou anniversaires des saints du calendrier liturgique. Seules 85 nous sont parvenues, dont une soixantaine sont probablement authentiques.
Selon la légende, rien ne le prédisposait à cette tâche. Doué d’une mauvaise voix, il n’arrivait pas à lire en public sans déclencher les moqueries de ses confrères. Or, vers 518, alors qu’il était en devoir dans l’église de la Panagia aux Blachernes, il s’endormit durant l’office de la vigile de la Nativité peu avant de faire la lecture du Livre des Psaumes. Pendant son sommeil, la Très Sainte Vierge Marie lui apparut en songe tenant un rouleau qu’elle lui ordonna de manger. Il se réveilla aussitôt, reçut la bénédiction du patriarche et monta à l’ambon où il improvisa son hymne la plus célèbre, le kontakion de la Nativité, éblouissant l’empereur, le patriarche, le clergé et la foule des fidèles tant par la profondeur des idées théologiques que contenait l’hymne que par la qualité de la voix et du chant de l’interprète.
La Vierge et Romain, Ménologe de Basile II.
La tradition veut qu’il s’agisse du premier kontakion (κοντάκιον) jamais chanté. Jusqu’au xiie siècle, il était chanté chaque année au banquet qu’offrait l’empereur lors de la fête de la Nativité par les chœurs de Sainte-Sophie et des Saints-Apôtres de Constantinople, réunis pour l’occasion. Il se présente sous forme d’un dialogue entre la Mère de Dieu et les Mages venus visiter l’enfant nouvellement né, visite que l’on célèbre selon le rite byzantin le 25 décembre et le 6 janvier selon le rite romain.
Parmi les autres kontakia qui lui sont attribués, les plus connus sont :
Bien que la plupart de ses kontakia portent sur des sujets religieux rappelant des histoires de l’Ancien Testament ou du Nouveau Testament ou ayant rapport à la vie du saint que l’on célébrait ce jour-là, Romain a aussi pris pour thèmes divers sujets contemporains comme la sédition Nika dans l’hymne « Sur le tremblement de terre et le feu » ou la reconstruction de Sainte-Sophie dans « Le nouveau Salomon » (allusion à Justinien Ier).
Ces kontakia sont écrits dans la koinè atticisante, c’est-à-dire dans une langue populaire mais de niveau élevé où abondent les expressions sémitisantes, ce qui confirmerait les origines juives du compositeur. Des images choisies avec soin, des métaphores frappantes, des comparaisons fortes, des antithèses saisissantes, la création de nouvelles expressions et une dramatisation vivante des sujets caractérisent son style.
Les Litaniae Sanctorum (litanies des saints) furent récitées une première fois en 590, par injonction directe du pape Saint Grégoire le Grand, lors d’une procession publique d’action de grâce.
Pater de caelis, Deus, (miserere nobis.)
Fili, Redemptor mundi, Deus, (miserere nobis.)
Spiritus Sancte, Deus, (miserere nobis.)
Sancta Trinitas, unus Deus, (miserere nobis.)
Sancta Maria,
Sancta Dei Genetrix,
Sancta Virgo virginum,
Sancte Michael,
Sancte Gabriel,
Sancte Raphael,
Omnes sancti Angeli et Archangeli,
Omnes sancti beatorum Spirituum ordines,
Sancte Ioannes Baptista,
Sancte Ioseph,
Omnes sancti Patriarchae et Prophetae,
Sancte Petre,
Sancte Paule,
Sancte Andrea,
Sancte Iacobe,
Sancte Ioannes,
Sancte Thoma,
Sancte Iacobe,
Sancte Philippe,
Sancte Bartolomaee,
Sancte Matthaee,
Sancte Simon,
Sancte Thaddaee,
Sancte Matthia,
Sancte Barnaba,
Sancte Luca,
Sancte Marce,
Omnes sancti Apostoli et Evangelistae,
Omnes sancti discipuli Domini,
Omnes sancti Innocentes,
Sancte Stephane,
Sancte Laurenti,
Sancte Vincenti,
Sancti Fabiane et Sebastiane,
Sancti Iohannes et Paule,
Sancti Cosma et Damiane,
Sancti Gervasi et Protasi,
Omnes sancti martyres,
Sancte Sylvester,
Sancte Gregori,
Sancte Ambrosi,
Sancte Augustine,
Sancte Hieronyme,
Sancte Martine,
Sancte Nicolae,
Omnes sancti Pontifices et Confessores,
Omnes sancti Doctores,
Sancte Antoni,
Sancte Benedicte,
Sancte Bernarde,
Sancte Dominice,
Sancte Francisce,
Omnes sancti Sacerdotes et Levitae,
Omnes sancti Monachi et Eremitae,
Sancta Maria Magdalena,
Sancta Agatha,
Sancta Lucia,
Sancta Agnes,
Sancta Caecilia,
Sancta Catharina,
Sancta Anastasia,
Omnes sanctae Virgines et Viduae
Par la foi ils ont vaincu les royaumes, ont accompli la justice, obtenu l’effet des promesses. — S. Paul aux Hébreux.
Le pape Boniface IV changea le Panthéon, bâti en l’honneur de tous les faux dieux, en une église qu’il dédia à la sainte Vierge et à tous les martyrs. Ce fut la dédicace de ce temple qui donna occasion à la fête de ce jour. Célébrée d’abord en l’honneur des martyrs, elle fut consacrée par Grégoire IV à honorer tous les saints. L’institution de cette fête remonte à la première partie du neuvième siècle.
https://www.youtube.com/watch?v=E01R–s9w6U
La vie des saints a été pleine de misères : ils ont été persécutés et tourmentés par les ennemis de Jésus-Christ ; Dieu leur a envoyé des afflictions pour les éprouver et les purifier ; eux-mêmes enfin se sont refusé les plaisirs les plus innocents et ont exercé sur leurs corps de très grandes austérités. Voulez-vous aller où ils sont ? Voilà le chemin, suivez leurs traces ; ces grands hommes avaient un corps comme le nôtre, mais ils avaient plus de courage que nous. « Ils n’ont pas été d’une nature supérieure à la nôtre, mais d’une plus grande vigilance ; ils n’ont pas été exempts de péchés, mais ils ont fait pénitence. » S. Ambroise.
« Dame âgée visitant un cimetière à la Toussaint en Tchéquie », Jacob Schikaneder, 1888.
Ces saints, malgré leurs épreuves, ont toujours été joyeux et contents en cette vie, parce que les consolations que Dieu versait dans leurs âmes, leur ôtaient tout sentiment des douleurs du corps. Regardez-les sur les échafauds et dans les solitudes ; ici ils versent des larmes de consolation, là ils sont pleins de joie au milieu des tortures. Dieu est si libéral qu’il ne veut pas attendre l’autre vie pour les récompenser, il le fait même en ce monde.
Aux Phillipines, la fête de tous les Saints est extrêmement suivie. Les cimetières se couvrent de chandelles, les communautés viennent prier pour les morts dans les cimetières et les tombes sont fleuries, restaurées ou repeintes.
S’ils ont été consolés en cette vie, qui était le lieu de leur exil, de leurs combats et de leurs souffrances, de quelle joie ne sont-ils pas comblés dans le ciel, leur patrie et le lieu de leur triomphe ? Là ils possèdent tous les biens que leur cœur peut désirer, puisqu’ils possèdent Dieu. Ils ne sont affligés d’aucune des incommodités que nous ressentons en cette vie. Écoutez ce qu’ils vous disent : Ne pensez pas trouver un chemin plus aisé pour arriver au ciel que celui que nous avons parcouru à la suite de Jésus-Christ. « Ne cherchez pas ici-bas ce qu’aucun des saints n’y a obtenu, ce que le Christ lui-même n’y a pas rencontré. » S. Eusèbe.
Dieu tout-puissant et éternel, qui nous accordez d’honorer dans une même solennité les mérites de tous vos saints, faites qu’assistés de si nombreux intercesseurs, nous obtenions de plus en plus, selon nos désirs, la multitude de vos grâces. Par N.-S. J.-C.
Extrait de la vie des Saints suivie d’une méditation pour chaque jour de l’année du Père Grossez S.J., tome II, pages 237-238.
[Petit-Rederching, 31 oct. 2016] Le pape est arrivée à Malmö au sud de la Suède ce lundi 31 octobre 2016. Après une rencontre privée avec le roi et la reine de Suède, Francois va participer à la commémoration commune qui marque les 500 ans de la Réforme, conjointement avec la Fédération Luthérienne Mondiale. Ambiance et attentes des Eglises luthériennes et catholiques, avec Etienne Loraillère, envoyé spécial de KTO en Suède, devant la cathédrale de Lünd où se déroule la prière ocuménique en début d’après-midi.