La semaine dernière, l’académicien Alain Finkielkraut était l’invité sur l’émission du très persécuté Eric Zemmour sur Paris Première. L’occasion pour nous de revenir sur une petite phrase, ou plutôt une tirade, de l’inénarrable blablateur, passé de l’hystérie gauchiste dans les années 1970 et 1980, à une hystérie que certains esprits faibles pensent assimiler à un esprit de droite, à un esprit français.
Aujourd’hui apparaît un nouveau franco judaïsme. Le franco-judaïsme du 19e siècle, c’était l’idée que la révolution française réalisait les espérances messianiques inscrites dans la Bible. Donc, soyons français sans aucune hésitation, sans aucune réticence, puisque l’idéal de justice de la Bible, c’est la France qui l’accomplit. Aujourd’hui, on ne peut plus parler en ces termes : il y a eu la participation française à la solution finale. Mais, un nouveau franco-judaïsme apparaît puisque dans les banlieues, les deux injures les plus fréquentes, c’est sale juif et sale français. Une sorte de communauté de destin nait entre les juifs et les français et d’une certaine manière, le sort qui m’est réservé dans certaines manifestations en porte témoignage. Je suis visé, précisément, pour cette double identification. – Alain Finkielkraut, émission Zemmour et Naulleau, Paris Première, 18 décembre 2019
Finkielkraut évoque ici un concept nouveau, le franco-judaïsme. Sans doute veut-il parler d’un certain esprit intellectuel juif qui avait cours en France ou ailleurs en occident au 19e siècle, temps de l’émancipation politique des « rois de l’époque », comme les appelait si bien Alphonse Toussenel. Quoiqu’il en soit, Finkielkraut prétend que la révolution française accomplit les « attentes messianiques bibliques ».
Blasphème, mensonge intellectuel, abomination théologique et aberration historique. Tout français, tout catholique ou plus simplement, toute personne de bon sens et d’un minimum d’intruction ne peut que bondir d’effroi à l’écoute d’une pareille idiotie. Premièrement, les attentes messianiques se sont réalisées uniquement en Notre Seigneur Jésus Christ, le vrai Messie, le vrai Roi d’Israël, et en l’Eglise, fondée par Lui. Deuxièmement : Notez comme Zemmour approuve les absurdités de son complice, lorsque ce dernier les déblatère. Troisièmement, on voit ici que Finkielkraut confond les espérances messianiques de la Sainte Ecriture, avec les abominations blasphématoires du Talmud, c’est-à-dire les horreurs du judaïsme apostat qui a rejeté le Seigneur Jésus Christ et qui continue encore de le rejeter aujourd’hui. C’est uniquement sur cette abomination talmudique que Finkielkraut fonde son mensonge. Il ne peut en être autrement et il est inutile ici de rappeler que la Révolution française fut la pire catastrophe de toute l’histoire de France, et même pour la chrétienté toute entière, d’un point de vue politique, social et anthropologique.
On voit ici que la doctrine Finkielkraut, piètre caution droitarde et pseudo intellectuelle juive, cherche à croiser le révisionnisme zemmourien de l’histoire de France, lequel est tout aussi limité, comme nous l’avons déjà démontré. Toutefois, plus émotif, peu capable de dissimuler son gauchisme originel, Finkielkraut se sent obligé de préciser que cette mystique française révolutionnaire ne peut plus concerner la France contemporaine, à cause « de la participation française à la solution finale ». Voilà qui est intéressant, et voilà qui rappelle le fameux propos que le même Finkielkraut avait tenu en 2005 :
Je suis né à Paris et suis le fils d’immigrants polonais, mon père a été déporté de France, ses parents ont été déportés et assassinés à Auschwitz, mon père est rentré d’Auschwitz en France. Ce pays mérite notre haine. Ce qu’il a fait à mes parents était beaucoup plus brutal que ce qu’il a fait aux Africains. Qu’a-t-il fait aux Africains ? Il n’a fait que du bien. – Haaretz, 19 novembre 2005
Celui qui fut un maoïste radical, puis un parrain de SOS Racisme dans les années 1980 n’a finalement jamais abandonné le business de la compétition victimaire. Il n’a jamais réellement changé d’avis concernant la France. Pour Finkielkraut et pour beaucoup d’autres ex juifs de gauche radicalisés par le sionisme triomphant de l’ère Netanyahou, la France, l’Occident, « l’Edom » talmudique, ont une dette imprescriptible envers la juiverie. Une dette d’autant plus imprescriptible que les pseudos élites françaises et occidentales, toutes mécréantes, se plient volontiers à la dhimitude noachide et ont troqué le dogme catholique pour le dogme shoatique, d’un messie à l’autre.
Enfin bref, en réalité, les propos d’Alain Finkielkraut n’ont aucun intérêt. Ces nouveaux fourriers du grand remplacement nous ennuient. Ils nous grand remplacent sur les plateaux de télévision, à la radio, à l’Académie Française, et prétendent pouvoir parler, non pas tant au nom des français, mais au nom de la France et de son histoire. En réalité, tout ce qu’ils font n’est que projeter leurs médiocres intérêts et leurs névroses personnelles. Finkielkraut pense que la France mérite sa haine et qu’elle ne mérite plus la mystique messianique juive à cause de sa prétendue responsabilité dans la mythologie shoatique ? Cela nous importe peu. Nous autres, chrétiens français, chrétiens d’Europe et du monde, avons subi mille shoahs en 2000 ans, depuis les persécutions des premiers siècles, aux génocides de Vendée et jusqu’à la grande apostasie des soixante dernières années. Autant de drames qui échappent largement aux préoccupations égocentriques de la juiverie et de Monsieur Finkielkraut. Quant à la haine des « juifs et des français » dans les banlieues, on se demande ce qu’Alain Finkielkraut sait exactement des cités multiethniques dont il parle en permanence. Peut-être devrait-il poser la question à Maitre Steeve Ruben, un jeune baveux juif qui a fait fortune en se spécialisant dans la défense des innombrables employés du vaste hypermarché francilien de la drogue. La star des rappeurs hardcore à la mode, ce n’est pas Ben Laden, mais bien Maitre Ruben.
En fait de haine des français, la sociologie incohérente desdites banlieues grand-remplacées se nourrit de clichés effectivement mâtinés de mépris et de lieux communs gauchistes : méchant blanc raciste, bourgeois, privilégié, contre le pauvre racisé innocent poussé à la magouille, voire au crime, pour survivre, s’acheter les dernières TN et s’intégrer à la société républicaine par la soirée en boite de nuit. Là encore, on renverra Mr. Finkielkraut à l’œuvre d’un autre juif habile, qui a fait fortune dans le créneau, un certain Matthieu Kassovitz. Mr. Finkielkraut, vous et nous, on ne parle pas du même grand remplacement, on ne parle pas de la même France, on ne parle pas de la même Bible.