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[Vidéo] Michel Onfray se rappelle des débuts de la « messe » Vatican 2

Nous sommes très certainement loin de tenir le non-chrétien Michel Onfray pour un écrivain à recommander. Ce qu’il exprime dans cet extrait vidéo est toutefois très intéressant et pertinent. Dans une intervention datant de 2016, l’essayiste se remémore les premières « messes » novus ordo dans son enfance. Pour un laïc non-chrétien, Onfray résume remarquablement bien la manifestation pour le coup ontologique de l’invalidité du rite novus ordo de Paul VI. Même un apostat comme Onfray a pu, non seulement sensiblement, mais aussi raisonnablement, observer que cette messe n’était en aucun cas catholique.

https://www.youtube.com/watch?v=plBmMKEZW8c&feature=youtu.be

[Vidéo] Exposé des hérésies de François dans Amoris Laetitia

Cette vidéo présentée par Fide Catholica (merci encore au talentueux auteur L. de B. qui l’a écrite et réalisée) expose les hérésies contenues dans le document « Amoris Laetitia » publié par le pseudopape François en mars 2016. Cette vidéo expose également la réaction fondamentalement illogique de la fameuse « dubia » de quelques « cardinaux » conservateurs comme Raymond Burke. Vous pouvez également retrouver l’essentiel des références citées dans cette vidéo dans notre article exposant les mêmes hérésies.

https://www.youtube.com/watch?v=k9EckWGqiM0

[Audio] Sur les origines antiques du monachisme chrétien et son développement en Occident

Le monachisme chrétien est pratiqué depuis l’Antiquité de l’Eglise. Il trouve son origine dans la tradition évangélique et les pratiques spirituelles pré-évangéliques. Les moines et les moniales, au sein d’un ordre monastique, suivent en général une règle dont la plus ancienne est la règle de saint Augustin et la plus répandue celle de saint Benoît. La vie monastique, le plus souvent au sein d’un monastère ou d’un couvent, qui peut être une abbaye lorsqu’il est dirigé par un abbé (de l’araméen « abba« , père)ou une abbesse, connaît deux formes principales : le cénobitisme (vie en communauté) et l’érémitisme (du grec eremos, désert : vie en solitude).

http://www.youtube.com/watch?v=gBzDsjUdrsI
Dans l’Europe occidentale, le monachisme fait son apparition à partir du delta du Rhône, dans les régions évangélisées dès les temps apostoliques : Marseille, îles de Lérins, Arles, et remontera dans le couloir rhodanien. De nombreuses figures encore très populaires, ne serait-ce que dans les noms de localités marquent ce monachisme : saint Martin de Tours, évêque de Tours, saint Césaire d’Arles… Ces personnages sont caractéristiques de la première période du monachisme où les abbés les plus fameux devenaient évêques, portant par là-même l’abbaye idéale au rang de modèle tant dans l’architecture que dans la morale, ou la discipline du clergé séculier, c’est-à-dire les prêtres des paroisses. À dater de cette période, les évêques et les abbés sont représentés avec les mêmes attributs : crosse épiscopale, mitre, anneau, et croix pectorale.

Saint Paul de Thèbes et Saint Antoine l’Ermite

Étymologiquement, le moine est celui qui vit seul, mais le mot a pris un sens plus large et s’applique à tous ceux qui se séparent de la société des hommes (le monde) pour se consacrer par la prière au service de Dieu, qu’ils vivent isolés, « ermites » et « anachorètes », ou groupés dans un monastère, « cénobites ». La diversité du monachisme occidentale est donc très grande. Le monachisme est la mise en pratique de la parole du Christ : « Si quelqu’un veut être mon disciple, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. ».