Le projet de loi n°3714 déposé par Jean Castex à l’Assemblée Nationale ce 21 décembre 2020 propose d’instituer un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » en procédure accélérée. Dans l’exposé des motifs de ce projet de loi, on apprend que :
L’ambition du présent projet de loi est ainsi de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles.
Il s’agit en clair de donner au régime de la 5e république le pouvoir d’établir ou de prolonger l’état d’urgence pour « raisons sanitaires » au moment même où l’imposture de la pandémie covidienne dépasse l’absurde pour rejoindre la folie criminelle.
Et plus il apparait clair que les effets de ce virus ont été exagérés de façon incroyable, plus il apparait aussi que le gouvernement français s’obstine étrangement à mettre le pays sous une étrange chape de plomb.
Durant des mois, les français les plus alertes, ou les plus paranos, ont annoncé la mise en place de vaccins obligatoires. La fiction a très rapidement rejoint la réalité, puisque dernièrement, le ministère de la santé de l’état Juif a annoncé la mise en place d’un « passeport vert » qui attestera de la prise du vaccin par un individu et qui permettra à se dernier de pouvoir se rendre dans des lieux tels que des bars, des restaurants, des salles de spectacle, etc.
🇮🇱 ÉTAT JUIF : Le ministère de la santé déclare que les 'détenteurs d'un passeport vert' auront le droit de fréquenter bars, restaurants, spectacles, etc. Ces passeports verts seront délivrés uniquement après la prise de 2 vaccins Pfizer. #covid19 https://t.co/l1KpiGEmum
— Hazel FinTech (@HazelFinTech) December 17, 2020
Très vite, la députée LREM Valérie Six a repris la proposition israélienne à l’assemblée nationale.
.@six_valerie propose la mise en place d'un "passeport vert" pour les personnes vaccinées, qui leur permettrait de se rendre au restaurant ou dans des lieux de culture. Cette mesure, mise en place en Israël, inciterait à la vaccination, fait-elle valoir.#DirectAN #COVID19 pic.twitter.com/rHBQvM8Qm9
— LCP (@LCP) December 16, 2020
Les régimes « démocratiques » actuels ne pouvant se payer le luxe d’ouvertement forcer les gens à se faire vacciner, le vaccin ne sera donc pas obligatoire, mais l’accès à certains services de la vie courante, lui, sera réservé à ceux qui pourront prouver s’être fait administrer le vaccin contre le covid. Un vaccin qui, comme on le sait, a été développé à la hâte et qui pour le moment, n’a contribué qu’à enrichir massivement les actionnaires de ces multinationales.
Or, précisément, un article précis du projet de loi du gouvernement pourra potentiellement amorcer cette tendance :
Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées.
Rappelons que tandis que le nombre de pauvres augmente parmi le peuple européen occidental, tandis qu’en pleine période de l’Avent, la France est soumise à un couvre-feu parfaitement absurde et inutile et tandis que le petit commerce de la France périphérique se meurt, les grands conglomérats pharmaceutiques (mais aussi d’autres secteurs) enregistrent des profits records, avec pour clients, des gouvernements de crapules manifestement complices.
Ce n’est pas de la poursuite de « l’épidémie » de covid-19 dont il faut avoir peur, mais bien plutôt du virus de la corruption, de l’immoralité et de la méchanceté des gouvernements actuels. Les choses ne sont pas prêtes de s’arranger, si l’on en croit les nouvelles venues d’Afrique du Sud et du Royaume-Uni, où des formes nouvelles du covid-19 auraient été détectées.