Pourquoi s’opposer au Pass Sanitaire et à la Vaccination Obligatoire ?

Le principal piège de l’actuelle propagande du régime est de vouloir faire croire que les Français qui se révoltent en ce moment contre la mise en place du Pass Sanitaire seraient des râleurs compulsifs, des complotistes excités et des sectaires rétrogrades anti-vaccins.

Or, ce n’est pas du tout le cas.

Bien sûr, il existe, comme partout, des complotistes délirants et des militants anti-vaccins radicaux.

Mais ceci ne constitue pas du tout, loin de là, la majorité des français actuellement en révolte.

On ne s’oppose pas aux vaccins, mais au Pass Sanitaire et ses conséquences liberticides

La plupart des français qui se révoltent aujourd’hui ne sont généralement pas anti-vaccins. En fait, beaucoup d’entre eux sont eux-mêmes déjà vaccinés, souvent par peur des pressions déjà exercées par certains employeurs suite aux annonces sensationnelles de l’exécutif lundi dernier.

Ce contre quoi ils se révoltent, c’est la mise en place d’un contrôle social inédit, illégitime et injustifiable, qui bafoue les libertés les plus élémentaires, comme celles de circuler, de commercer ou d’occuper un emploi, et qui introduit une discrimination tout à fait scandaleuse entre « vaccinés » et « non-vaccinés ».

Mais pour beaucoup d’entre nous, il s’agit de protester contre un phénomène beaucoup plus profond que cela.

En ce qui me concerne, je ne suis pas anti-vaccins. Je ne l’ai jamais été, bien que j’aurais beaucoup de raisons personelles pour l’être.

D’ailleurs, je n’ai aucune connaissance particulière en médecine.

Cela dit, je suis doué d’une raison et donc d’une capacité d’analyser rationnellement le réel. Et me semble parfaitement rationnel de penser que la mise en place de ce pass sanitaire est un véritable scandale qui ne se justifie en aucune façon.

Le vaccin peut être un droit, mais jamais une obligation

Certains objectent typiquement : « Pourquoi faire tant de manières ? Après tout, ce n’est pas la première fois qu’il existe des obligations vaccinales ».

C’est exact : enfants, nous nous faisons généralement tous vacciner contre certaines maladies (hépatite B, tétanos, etc). Certaines destinations, notamment dans les zones tropicales, exigent aussi généralement des vaccins spécifiques (fièvre jaune).

Cependant, il me semble que jamais en France, l’on a introduit une telle politique vaccinale qui conduit dans les faits à discriminer toute une partie de la population, en l’empêchant d’exercer des libertés humaines fondamentales.

Il me semble que jamais en France, on ait eu l’idée d’empêcher l’ensemble de la population d’accéder à des commerces, à des transports publics et même à des emplois, faute de présenter un certificat de vaccination.

Ces atteintes à des libertés si élementaires n’ont aucune raison de s’arrêter là. Demain, elles pourraient fort bien s’appliquer aux catholiques, aux climato-sceptiques, aux défenseurs du nucléaire, aux eurosceptiques, aux parents qui font l’école à la maison, aux jardiniers qui reproduisent leurs propres graines, etc.

Avocats et juristes sont déjà sur le front pour saisir les contre-pouvoirs compétents. De leur côté, beaucoup de citoyens évoquent la fameuse résolution 2361 de l’assemblée plénière du Conseil de l’Europe, qui stipule :

Les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne peut subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

Le problème, c’est que les résolutions du Conseil de l’Europe n’ont guère de force juridique au sein des états membres.

D’autres attendent beaucoup des débats parlementaires des prochains jours, ainsi que de l’avis du Conseil d’État.

Le problème, c’est que l’immense majorité de l’opposition s’est largement soumise aux projets liberticides du gouvernement.

Quant au Conseil d’État, il n’y a rien à en attendre, autant se le dire franchement. Cela fait longtemps que nous ne sommes plus dans un état de droit, et tout ce qui se passe en ce moment illustre cette terrifiante transition vers une nouvelle forme du régime et de la société française.

La gestion hystérique de l’épidémie de COVID soulève des doutes légitimes

L’actuelle fronde des français contre cette politique de coercition criminelle est aussi le résultat d’une gestion tout à fait délirante de cette crise sanitaire, non seulement du point de vue politique et logistique, mais également du point de vue du discours médiatico-politique.

Premièrement, médias et gouvernementaux ont très tôt installé un climat de peur, non seulement en France, mais aussi ailleurs dans le monde. A les entendre, on aurait dû croire que nous faisions face à une nouvelle forme de la grippe espagnole, ou à la peste ou à ebola.

En 2020, ce climat de peur n’a cessé de s’amplifier. Dans le même temps, on a commencé à diaboliser toutes les personnes, scientifiques, personnels soignants ou simples citoyens, qui osaient remettre en question le narratif médiatico-politique ou suggéraient simplement des solutions alternatives.

Simple exemple : Les personnes qui ont très tôt fait remarqué que ce virus était manifestement issu d’un laboratoire chinois furent vilipendées de façon hystérique et traités de complotistes par la caste médiatique. Un an plus tard, les mêmes médias accusateurs ont été obligés d’admettre que cette thèse était tout à fait fondée.

Depuis le début de l’épidémie, on a diabolisé tous les scientifiques et professionnels qui proposaient des solutions alternatives, aussi bien en matière de gestion, de confinement, d’isolement, de traitement ou d’hospitalisation.

Aux débuts de la crise, le ministre Olivier Veran assurait sur tous les plateaux que le masque ne servait à rien. Peu de temps après, le masque fut imposé comme une nouvelle norme sociale, non seulement en intérieur, mais même parfois en extérieur.

Les mensonges des gouvernements et la corruption d’une partie du monde scientifique et médiatique

Ensuite, il y a le fait que dès le courant de l’été 2020, on a assisté à une sorte de course au vaccin de la part des grands groupes pharmaceutiques. Très tôt, médias et gouvernements affirmaient donc que la seule solution à l’épidémie était la vaccination générale, à l’exclusion de toute autre forme de traitement médical. Pendant des mois, les alternatives médicales simples et peu couteuses comme l’Ivermectine ont été méprisées et considérées comme farfelues. Or, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré en mars dernier que l’utilisation de ce médicament antiparasitaire est tout à fait pertinente pour prévenir ou traiter le COVID-19.

C’est donc par de tels exemples qu’une partie du public a légitimement perdu confiance dans la parole des gouvernements et des soi-disant experts qui défilaient sur les plateaux de télévision.

On s’est également aperçu que bon nombre de ces experts scientifiques étaient très souvent tenus par des intérêts privés et rémunérés par de grands groupes pharmaceutiques, à savoir les mêmes groupes chargés de fabriquer ces fameux vaccins.

Heureusement, depuis le scandale du Médiator en 2010, les industriels du monde pharmaceutique doivent désormais déclarer tous leurs liens d’intérêts financiers dans la base Transparence-Santé.

Ainsi, le site EUROSFORDOCS nous informe que ces multinationales pharmaceutiques ont versé près de 67 MILLIARDS d’euros rien qu’en France, dans le monde médical. L’immense majorité de ses subsides ont été versés aux professionnels de santé. Parmi ces multinationales, on trouve Sanofi, Novartis, AstraZeneca, Pfizer, Bayer, Johnson & Johnson et des centaines d’autres.

Ainsi, les français se sont légitimement demandés si certains de ces politiciens, journalistes et experts, qui nous ont vendu autant de peur que de propagande vaccinatoire, avaient vraiment la parole libre.

Des doutes légitimes sur des vaccins à l’efficacité douteuse et développés à la hâte

De plus, il y a une méfiance légitime de beaucoup de français, non pas contre les vaccins en tant que tels, mais par rapport à l’empressement exceptionnel avec lequel ces vaccins furent développés et autorisés sur le marché. On a mis des années à développer les vaccins contre l’hépatite, contre le tétanos ou contre la grippe saisonnière, et on voudrait nous faire croire que ces vaccins contre le COVID, développés en quelques mois et d’ailleurs toujours en phase de test à grande échelle, seraient efficaces et sans danger ? Tout prouve le contraire.

Des centaines de complications graves et parfois mortelles, ont été signalées chez des vaccinés partout autour du monde, certaines causant des thromboses, des paralysies totales ou partielles, quand d’autres allèrent jusqu’à causer la mort. Certains relativisent ces cas graves en affirmant qu’il ne s’agit que de quelques centaines de cas sur des millions de vaccinés. Mais est-ce que le progrès médical consiste donc à jouer à la roulette russe avec la santé et la vie des populations ? Pourquoi trouve-t-on normal d’avoir à se renseigner sur d’éventuels effets secondaires après avoir reçu ces vaccins fabriqués à la hâte ? Pourquoi trouve-t-on normal d’obliger des pays entier à se faire inoculer ces vaccins alors que le monde médical admet qu’ils ne sont efficaces à plus de 70 ou 80% dans le meilleur des cas ? Pourquoi une telle précipitation face à une épidémie qui, encore une fois, est manifestement loin d’avoir la gravité et l’ampleur qu’on lui prête ?

D’ailleurs, l’efficacité de ces vaccins est de moins en moins évidente, puisqu’au fil des mois, les autorités sanitaires ont commencé à recommander au public de subir une 2e, voire une 3e injection. Aux USA, l’autorité sanitaire fédérale vient de mettre en garde contre le vaccin Johnson & Johnson, après avoir constaté qu’il pouvait gravement contribuer au développement du syndrome de Guillain-Barré chez les patients. Or, le vaccin Johnson & Johnson n’est pas le seul dans ce cas, puisque le même phénomène a été constaté en Inde et en Angleterre pour le vaccin d’AstraZeneca. Dans l’état hébreu, qui fut un état pionnier et particulièrement offensif en matière de confinement et de vaccination de masse, les autorités ont constaté dès Janvier que l’immense majorité des nouveaux cas graves de COVID-19, en particulier ceux résultant du variant Delta, ont été observés chez des personnes vaccinées.

Et on observe le même phénomène ailleurs dans le monde, à commencer par la France. Reste aussi la question cruciale de la responsabilité juridique et financière de l’Etat et des laboratoires vis-à-vis d’éventuelles complications chez les vaccinés.

Et ne parlons même pas de l’interêt évident qu’avaient ces grandes multinationales du monde pharmaceutique à pousser à fond le narratif de la vaccination massive comme solution miracle contre l’épidémie. Il suffit pour s’en convaincre, de jeter un oeil aux profits records qu’ils ont enregistré ces derniers mois.

Nous n’avons rien contre le profit, ni contre un juste capitalisme, ni contre la finance en tant que tels, mais qu’on ne vienne pas nous dire que ces corporations privées ont agi dans un but purement altruiste.

Les Français comprennent que le Pass Sanitaire ouvre la porte à une société invivable

Pour finir, les Français se révoltent contre ce Pass Sanitaire car ils en comprennent les enjeux en matière de modèle de société. Pour une épidémie qui, factuellement, n’a pas fait plus de morts que n’importe quelle grippe de saison, le gouvernement en profite pour mettre en place un dispositif de contrôle social qui ne trouve pas d’équivalent dans le monde, sinon dans des pays comme le Pakistan, l’Arabie Saoudite et la Chine communiste.

Aujourd’hui, le gouvernement macroniste diabolise une partie considérable de la population et ose même s’en prendre aux infirmiers et autres personnels soignants, qui exercent l’un des métiers les plus nobles et utiles dans la société. Tout ceci après des années et des années de casse du service public hospitalier et de dévalorisation du métier d’infirmier en France, non seulement sous ce gouvernement, mais déjà depuis la présidence Sarkozy.

En clair, les Français comprennent bien que la mise en place du Pass Sanitaire est aussi le signal d’une transition entre un modèle de société et un autre modèle. C’est une transition entre la France telle que certains d’entre nous l’avons encore connue et une France aseptisée, antinaturelle et antisociale. Une France ultra-libérale, et paradoxalement, aussi liberticide, totalitaire, oppressive, pesante, que peut l’être à certains égards la Chine communiste. Tel est le modèle que la technocratie française et européiste rêve d’imposer en France et en Europe.

Au final, la question que beaucoup de français se posent est la suivante : quel est le but de nos gouvernants ? Pour qui travaillent-ils ?

Ce qu’ils cherchent, c’est la destruction de la société française.

Ceux pour qui ils travaillent, nous l’ignorons, mais ce qui est certain, c’est qu’ils ne travaillent pas pour le Bien Commun, ni pour la Res Publica.

Au-delà du Pass Sanitaire, la nécessité urgente de rompre avec un régime intrinsèquement mauvais

C’est pourquoi il faut considérer cette fronde actuelle comme un moyen providentiel de remobiliser et restructurer la société civile française.

Premièrement, il est important de comprendre la dimension morale du péril liberticide actuel. Depuis des décennies, sinon depuis des siècles, plus exactement depuis le règne de la révolution dans le monde, l’Eglise fut la seule institution à avoir constamment averti les peuples contre la nouvelle barbarie qui allait se mettre en place.

Barbarie d’un certain capitalisme libéral et immoral, barbarie du socialisme et du communisme, barbarie d’une société libérale-libertaire qui, déjà à la fin du 19e siècle et au début du 20e, en attaquant les moeurs chrétiennes, attaquait en réalité tous les principes de justice sociale, ainsi que tous les principes légitimes des libertés fondamentales.

Beaucoup de français ignorent aujourd’hui cette histoire. Beaucoup de français s’ettonent que cette société qui a prétendu les libérer du joug soit-disant horrible de la religion et de la morale chrétienne, les a finalement livrés à l’esclavage de la licence, du consumérisme, des passions, de l’injustice et de l’ultra-libéralisme.

Aujourd’hui, cette société libérale-libertaire est en réalité la plus liberticide, la plus injuste et la plus anti-sociale qui soit.

Beaucoup de français qui hier se sont légitimement soulevés pour des raisons économiques et sociales dans le mouvement des Gilets Jaunes, et qui se soulèvent aujourd’hui contre les attaques contre les libertés élémentaires, ne comprennent pas suffisamment cela.

Beaucoup de français ne comprennent pas encore que Macron n’est que le proxy du projet globaliste. Ce qui se passe en ce moment est le fruit d’un régime, d’un système, fondés sur une philosophie politique qui déteste Dieu, qui déteste les hommes, qui déteste la justice et la paix sociale.

Beaucoup de français ne comprennent pas encore le lien entre l’esprit de la révolution et l’actuelle politique antisociale et liberticide. Beaucoup de français ne comprennent pas encore que ce régime nuit systématiquement au bien commun :

  • Corruption systémique induite par l’actuel modèle de démocratie libérale et parlementariste qui favorise mécaniquement le parti des puissances d’argent, des puissances occultes, des puissances étrangères, des intérêts privés et des intérêts personnels, au détriment du bien commun, de la morale publique et de la Res Publica.
  • Normalisation et légalisation de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre des innocents dans le ventre des mères, crime absolu contre l’enfance, contre la morale et contre l’avenir d’un pays tout entier.
  • Mariage homosexuel et PMA, c’est-à-dire négation des lois les plus élémentaires de la nature et de l’institution du mariage.
  • Immigration incontrôlée sous des motifs idéologiques et pseudo-humanitaires qui dissimulent une volonté sournoise d’une caste politique et d’un certain patronat de maintenir des bas salaires en France, tout en hystérisant la société française dans des affrontements et des haines ethnico-religieuses. Ajoutons à cela la volonté de certains idéologues -souvent les mêmes qui annoncèrent la révolution pandémique- de faire de l’Europe un vaste magma multiculturel tout à fait artificiel, qui n’a pas d’autre but de constituer de nouvelles races d’esclaves sans mémoire, sans héritage, ni structure anthropologique. Annihiler le passé, c’est faire renoncer aux peuples la volonté de former un futur harmonieux et meilleur.
  • Désindustrialisation du pays qui affaiblit gravement l’influence commerciale de la France et qui développe un chômage de masse.
  • Lourd système de taxes et d’impôts qui pénalisent les petits et moyens entrepreneurs, aussi bien que le prolétariat et la petite classe moyenne, faisant de notre pays l’un des moins attractifs pour l’étranger, ainsi qu’un pôle d’émigration pour une partie de plus en plus importante de notre brillante jeunesse diplômée ou entrepreneuriale.
  • Soumission complète aux diktats de l’Union Européenne, et plus spécifiquement à la Commission Européenne et à la Banque Centrale Européenne, avec des conséquences désastreuses pour la souveraineté de notre droit, de notre monnaie, de notre agriculture et donc de notre compétitivité face au monde.
  • Casse et privatisation totale ou partielle du service public, en l’occurrence, du service public hospitalier.
  • Attaques sur les retraites, l’assurance maladie et l’assurance chômage, sous des prétextes de nécessaire rigueur budgétaire, alors que le budget de l’Etat est notoirement pénalisé à cause des politiques anti-industrielles, antisociales, anti-entrepreneuriales et pro-immigration de ce même régime.

La liste est encore longue, et nous devrions mettre en tête de celle-ci, l’aspect le plus scandaleux et inacceptable de ce régime, à savoir sa constitution fondamentalement anti-chrétienne.

Que les français comprennent donc que le Pass Sanitaire n’est qu’une étape dans le processus de destruction opéré par ce régime révolutionnaire.

Pour l’instant, il convient de se mobiliser et de faire bloc contre le Pass Sanitaire. Mais il faut impérativement que les français soient capables d’adopter une réflexion intégrale sur cette affaire.

Si nous voulons mettre fin à ce cauchemar français, il faut impérativement changer de régime. La Providence divine permet peut-être ce type de menaces antisociales comme une sorte de châtiment, pour appeler les français à revenir au Commencement, c’est-à-dire aux douces lois de l’Evangile. C’est à partir de là que l’on pourra reconstruire une France apaisée, juste et rayonnante.

Hors de cette voie, il n’y aura pas de salut et la France néo-païenne et néo-barbare disparaitra à petit feu, comme disparurent jadis, les empires décadents de l’antiquité païenne.

C’est pourquoi, si la société humaine doit être guérie, elle ne le sera que par le retour à la vie et aux institutions du christianisme.

A qui veut régénérer une société quelconque en décadence, on prescrit avec raison de la ramener à ses origines.

La perfection de toute société consiste, en effet, à poursuivre et à atteindre la fin en vue de laquelle elle a été fondée, en sorte que tous les mouvements et tous les actes de la vie sociale naissent du même principe d’où est née la société. Aussi, s’écarter de la fin, c’est aller à la mort ; y revenir, c’est reprendre vie. – Pape Léon XIII, Rerum Novarum

Articles recommandés

2 commentaire

  1. Cher monsieur
    A travers ce qu il se passe actuellement c est aussi l ideologie de la vaccination qui est mise a mal…l ideologie de Pasteur c est que les virus sont dangereux et que nous devons nous en proteger par un vaccin…Antoine Bechamp lui a une autre approche: ce n est pas le virus qui est dangereux mais le terrain organique qui fait tout…. un peu comme si pour soigner un poisson on ait ce reflexe de le vacciner alors qu il fallait tout simplement changer l eau de son aquarium. Ce qui change radicalement la relation que nous avons avec la maladie….Ce n est pas la faute des virus mais surtout la notre si nous laissons se degrader notre systeme immunitaire ( mauvaise hygiène vie déréglé manque de sommeil et la facon que nous avons aussi de prendre soin de notre ame). Cette crise a le merite de reveler sous nos yeux tant de siecles d imposture dans tous les domaines y compris celui ci….bien a vous….

  2. Bonsoir Guillaume,
    merci pour cet article, bravo pour votre site !
    Je rejoins le commentaire de Thollot.
    Pasteur fut un imposteur, j’ai des suspicions sur son avion à la FM, il fut un très bon communiquant par contre.
    À l’opposé, Béchamp, catholique (certes ça ne veut rien dire quant à la validité des thèses scientifiques, Pasteur étant étiqueté « catholique » lui aussi d’ailleurs !) véritable savant, et ayant émis des hypothèses novatrices et originales sur les questions de la biologie et après de la santé.
    Voici un bon livre :
    https://www.eyrolles.com/Litterature/Livre/pasteur-l-imposteur–9791096132416/
    sinon, les livres de Michel Georget, de Sylvie Simon… de tant d’autres. Voir le site de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations :
    http://www.infovaccin.fr/
    à bientôt !

Répondre à Augustin Cochin Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *