«… les modernistes assemblent et mélangent pour ainsi dire en eux plusieurs personnages … le philosophe, le croyant, le théologien, l’historien, le critique, l’apologiste, le réformateur…».
«15. Les Modernistes appliquent l’expérience à la Tradition et ainsi la détruisent».
«23. La Conscience est l’autorité chez les Modernistes».
«32. Ils [les modernistes] posent tout d’abord ce principe général que, dans une religion vivante, il n’est rien qui ne soit variable, rien qui ne doive varier.
…le point capital de leur système, savoir l’évolution. Des lois de l’évolution, dogme, Église, culte, Livres Saints, foi même, tout est tributaire, sous peine de mort. Quant à son application, quant à la mise en acte des lois de l’évolution, voici leur doctrine».
«38. La doctrine des modernistes : rien de stable, rien d’immuable dans l’Église, le progrès humain dans la religion catholique, comme si cette religion n’était pas l’œuvre de Dieu, mais l’œuvre des hommes,susceptible de perfectionnements humains».
«53. Le modernisme,rendez-vous de toutes les hérésies, de toutes les erreurs qui furent jamais contre la foi».
Pape Saint Pie X, Pascendi Dominici gregis, sur les erreurs du modernisme, 8 sept. 1907