François accuse l’Église d’adultère

Alors que les affaires de crimes sexuels au sein de la secte moderniste ne cessent d’éclater au grand jour depuis un an, et moins d’un mois après le sommet ouvert à Rome en février pour traiter de la question, l’hérésiarque François vient de se signaler par un scandaleux blasphème et une calomnie incroyable contre l’Église. Rencontrant son clergé à la basilique de Saint Jean de Latran ce jeudi 7 mars 2019 (traduction du texte en anglais), François a prononcé ces paroles insoutenables, en expliquant à ses prêtres les moyens de surmonter la crise de scandales pédocriminels à laquelle ils font face actuellement :

Ne soyez pas découragés, le Seigneur est en train de purifier son épouse, il est en train de tous nous convertir à lui, il nous met à l’épreuve afin que nous comprenions que sans lui, nous ne sommes que poussière, il nous sauve de l’hypocrisie, de la spiritualité des apparences. Il insuffle son esprit afin de restaurer la beauté de son épouse, surprise en flagrant délit d’adultère. Il sera bon aujourd’hui, de nous référer au chapitre 16 d’Ezéchiel. C’est l’histoire de l’ Église. C’est mon histoire, également, pourrait-on dire. Et à la fin, malgré la honte, tu demeureras pasteur. Notre humble repentance, qui demeure silencieuse dans les larmes, face à la monstruosité du péché et de l’incompréhensible miséricorde de Dieu, cela, cette humble repentance, est le début de notre sainteté. – Antipape François, Meditazione Del Santo Padre Franscesco, Incontro con il clero della diocesi di Roma, 7 mars 2019, https://bit.ly/2C5LNeD

Il faut nécessairement que François ait prononcé ces paroles devant un auditoire d’hérétiques acquis à sa cause ; Personne au monde, se disant chrétien, ne pourrait demeurer silencieux et inerte devant un pareil affront. Mais nous verrons que dans la suite de ce paragraphe, lorsqu’il se réfère à Ézéchiel 16, non content de l’accuser d’un adultère dont il est lui, le seul coupable, François a même l’audace de traiter l’Église de prostituée !

Tout d’abord, adressons cette inacceptable hérésie, cette effroyable insulte où François a l’audace d’affirmer que l’Eglise aurait été prise en flagrant délit d’adultère. Quel adultère ? Ici, François fait référence aux multiples affaires de crimes pédophiles et homosexuels dont son clergé de faux prêtres est responsable. Nous venons justement de faire paraitre une longue revue des derniers évènements sur ces affaires de moeurs qui éclaboussent le Vatican occupé, en démontrant l’insondable profondeur de l’hypocrisie de Bergoglio, lui qui a protégé, en Argentine, aux États-Unis et à Rome, d’effroyables criminels, comme les responsables de cette école d’enfants sourds, qui violaient ces derniers, le tout sous la protection de l’infect usurpateur. Et voici que François ose, à la manière de tous les démoniaques, reporter la faute sur l’Eglise ? En premier lieu, s’il fallait encore le prouver, François n’est pas membre de l’Eglise catholique, il n’est ni prêtre, ni pape, et cette énième hérésie ne vient que s’ajouter à la liste de preuves. En second lieu, comment, même un moderniste comme lui, peut-il être si mauvais, pour prononcer de telles horreurs ? Commençons par réfuter son blasphème et son hérésie par l’enseignement des papes de l’Eglise catholique. A supposer qu’il soit le pape de l’Eglise catholique (ce qu’il n’est évidemment pas), François n’aurait aucun droit de l’accuser des fautes de certains de ses membres :

Assurément notre pieuse Mère brille d’un éclat sans tache dans les sacrements où elle engendre ses fils et les nourrit ; dans la foi qu’elle garde toujours à l’abri de toute atteinte ; dans les lois très saintes qu’elle impose à tous et les conseils évangéliques qu’à tous elle propose ; enfin, dans les grâces célestes et les charismes surnaturels par lesquels elle engendre avec une inlassable fécondité des troupes innombrables de martyrs, de confesseurs et de vierges. Ce n’est cependant pas à elle qu’il faut reprocher les faiblesses et les blessures de certains de ses membres, au nom desquels elle-même demande à Dieu tous les jours: « Pardonnez-nous nos offenses », et au salut spirituel desquels elle se consacre sans relâche, avec toute la force de son amour maternel.Pape Pie XII, Mystici Corporis, n°65

François, le 7 mars 2019, enseignant ses blasphèmes lors de la rencontre avec le clergé moderniste de Rome (Source).

C’est pourtant là un enseignement dogmatique et scriptural simple, et nous pourrions citer quantité d’autres déclarations de pères, docteurs et théologiens, ou tout simplement d’autres passages du magistère, tels que Iucunda Sane de Saint Pie X ou Quas Primas de Pie XI. Ce dernier enseignait par ailleurs, dans Mortalium Animos, de telle façon qu’il réfute non seulement le blasphème de Bergoglio, mais expose également le fait indéniable que François n’est ni catholique, ni pape :

Le retour à l’unique véritable Eglise, disons-Nous, bien visible à tous les regards, et qui, par la volonté de son Fondateur, doit rester perpétuellement telle qu’il l’a instituée luimême pour le salut de tous. Car jamais au cours des siècles, l’Epouse mystique du Christ n’a été souillée, et elle ne pourra jamais l’être, au témoignage de saint Cyprien : « L’Epouse du Christ ne peut commettre un adultère : elle est intacte et pure. Elle ne connaît qu’une seule demeure ; par sa chaste pudeur, elle garde l’inviolabilité d’un seul foyer » (De cath. Ecclesiae unitate, VI). Et le saint martyr s’étonnait vivement, et à bon droit, qu’on pût croire « que cette unité provenant de la stabilité divine, consolidée par les sacrements célestes, pouvait être déchirée dans l’Église et brisée par le heurt des volontés discordantes » (ibid.). Le corps mystique du Christ, c’est-à-dire l’Eglise, étant un (I Cor., XII, 12), formé de parties liées et coordonnées (Eph. IV, 16) à l’instar d’un corps physique, il est absurde et ridicule de dire qu’il peut se composer de membres épars et 9 disjoints ; par suite, quiconque ne lui est pas uni n’est pas un de ses membres et n’est pas attaché à sa tête qui est le Christ (Eph.V, 30; 1,22). Pape Pie XI, Mortalium Animos, n°10

Comme nous l’avons vu, l’hérétique Bergoglio ose ensuite assimiler la Sainte et Pure Épouse Immaculée avec la Jérusalem prostituée et infidèle dont il est question dans Ezéchiel 16.

Ton nom se répandit parmi les nations à cause de ta beauté; car elle était parfaite, grâce à ma splendeur que j’avais répandue sur toi, –oracle du Seigneur Yahweh. Mais tu mis ta confiance en ta beauté, et tu te prostituas à la faveur de ton nom; tu prodiguas tes amours à tout passant, te livrant à lui. Et tu as pris de tes vêtements, et tu t’en es fait des hauts lieux aux couleurs variées, et tu t’es prostituée dessus: ce qui ne s’était jamais fait et ne se fera jamais. – Ezéchiel 16 ;14-16

Saint Jérôme, dans son commentaire sur le livre d’Ezéchiel, enseigne que la Jérusalem dont il est question dans Ezéchiel 16 désigne la Jérusalem qui fut incendiée par les Babyloniens et par les Romains. Il note même que « ces interprétations que certains commentateurs appliquent ici à la Jérusalem céleste [et à l’Eglise], l’Eglise ne les admet pas ». Ainsi, Ézéchiel évoque bien évidemment la synagogue apostate, ayant trahi la pureté de la Sainte Religion, laquelle s’est accomplie en seconde naissance dans l’Eglise catholique, prophétisée par l’Écriture et fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ comme étant pure et inviolable. Et Saint Jérôme de commenter : « C’était donc le temps où la jeune fille peut contracter mariage. Et alors Dieu, pleine de miséricorde, reçoit Jérusalem sous ses ailes étendues et la porte sur Ses épaules, conformément à ce qui est écrit dans l’Évangile : « Combien de fois j’ai voulu rassembler vos enfants, comme la poule rassemble ses petits, sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ? (Luc 13 ;34) »

Donc, cette prostituée et infidèle dans Ézéchiel 16 n’est nullement l’Eglise catholique, mais la synagogue talmudique, demeurée dans l’apostasie contractée déjà à l’époque des Rois et de l’exil babylonien. La synagogue talmudique, que François aime fréquenter et dont il aime louer les sectateurs : comme nous l’avons démontré, modernistes et talmudistes sont tous deux les dignes successeurs des pharisiens ! D’ailleurs, remarquons que le procédé de François, en plus d’être hypocrite, est d’une sournoiserie indescriptible, dont seuls ces possédés de modernistes sont capables. En effet, François parle à la manière des impies de notre temps et même des temps passés. Pour l’impie à l’esprit simple, la vue d’un mauvais prêtre ou d’un catholique qui commet un péché, suffit à lui faire penser que la religion catholique est mauvaise. Mettons que cet impie découvre un prêtre vivant en concubinage : nous savons automatiquement que beaucoup d’impies en concluent que la religion est mauvaise et c’est ainsi qu’ils jugent de sa véracité, par un phénomène extérieur, qui n’a rien à voir avec ce qu’enseigne cette religion. Maintenant, a contrario, le judaïsme talmudique enseigne l’adultère, permet la fornication libertine en certaines occasions et même la pédophilie sous certaines conditions. Voici donc deux faits très différents : le judaïsme talmudique enseigne l’immoralité ; la religion catholique enseigne la moralité. Ceci, indépendamment de ce que pourraient faire telle ou telle personne se disant talmudiste ou catholique. Il en résulte que le judaïsme talmudique est immoral et n’est donc pas la vraie religion, et qu’au contraire, tout esprit doué de raison et de justice, peut constater que rien de ce qu’enseigne la religion catholique n’est immoral, que tout y est conforme aux Saintes Écritures et à la raison, et que par conséquent, il s’agit de la vraie religion. Mais l’hypocrisie et la sournoiserie de François n’ont d’égales que la mesure de sa mécréance. Pour couvrir les crimes divers que se permettent les adeptes du culte moderniste, lui y compris, il falsifie l’interprétation orthodoxe et raisonnable de l’Ecriture, pour confondre sciemment prostitution et infidélité, avec l’Eglise catholique. Il pense de cette façon, justifier les pratiques immorales de son clergé : « n’ayez pas peur de pécher, surtout pour les péchés de chair, voyez : après tout, l’Eglise aussi est pécheresse, comme nous. Je vous assure, je l’ai lu dans la Bible »…

Nous n’avons pas tord de rappeler ici les rapports qu’entretiennent les chefs de la contre-église avec leurs alliés talmudo-kabbalistes. L’enseignement de François, ici, laisse apparaitre une doctrine selon laquelle le péché peut positivement être commis, en conscience, pour attirer, voire forcer la miséricorde divine. Comme l’a remarqué notre confrère du site  » Call Me Jorge « , cette pensée est tout à fait similaire à la doctrine de la kabbale hassidique qu’on appelle Yeridah Tsorech Aliya, c’est à dire littéralement la descente pour le bien de la remontée, autrement dit, le péché pour provoquer le bien. Nos amis de Call Me Jorge ont également remarqué que Bergoglio a plusieurs fois indiqué les origines kabbalistiques de sa philosophie morale.

Nos confrères de Novus Ordo Watch ont également remarqué quelque chose de notable dans le vocabulaire employé par Bergoglio. Tandis que celui n’a pas cité une seule fois le mot « adultère » dans son fameux document hérétique Amoris Laetitia, préférant le terme de « situations irrégulières » afin de ne pas stigmatiser les couples de « divorcés-remariés » auxquels il permet de participer à la communion (ce qui est condamné par l’Eglise), là, nous voyons qu’il semble moins timide pour employer le terme de « flagrant délit d’adultère » dans son blasphème contre l’Eglise. Mais il est clair que ce n’est pas la première fois que Bergoglio exprime son impiété rabique : dans son audience générale du 11 septembre 2013, il avait insulté l’Eglise et la Sainte Vierge Marie en affirmant que l’une comme l’autre, avaient des défauts.

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Bergoglio, malgré son blasphème, prophétise peut-être contre lui-même, sans s’en rendre compte, car en effet, son église (qui n’est pas l’Eglise catholique), est bien semblable à la femme infidèle décrite dans Ézéchiel 16. Mais elle est encore plus semblable à la grande prostituée de Babylone, dont la vision a tant étonné Saint Jean, dans le Livre de l’Apocalypse.

Nos lecteurs étant pour la plupart catholiques comme nous, ils savent bien ce qu’il faut penser de cette abominable secte moderniste, engeance du démon, véritable prostituée du démon, et de son chef actuel, le misérable Jorge Bergoglio. D’une certaine façon, Bergoglio, en assimilant sa secte (qu’il présente comme l’Eglise) comme étant décrite comme la prostituée d’Ezéchiel 16, dit vrai. La secte Vatican 2, et tous ceux qui s’y unissent volontairement, renient l’Eglise catholique et adoptent une épouse adultère :

L’Eglise du Christ est donc unique et, de plus, perpétuelle : quiconque se sépare d’elle, s’éloigne de la volonté et de l’ordre de Jésus-Christ Notre-Seigneur, il quitte le chemin du salut, il va à sa perte. « Quiconque se sépare de l’Eglise pour s’unir à une épouse adultère, abdique aussi les promesses faites à l’Eglise. Quiconque abandonne l’Eglise du Christ ne parviendra point aux récompenses du Christ. Quiconque ne garde pas cette unité, ne garde pas la loi de Dieu, il ne garde pas la foi du Père et du Fils, il ne garde pas la vie ni le salut » (S. Cyp. De cath. Eccl. Unitate). – Léon XIII, Satis Cognitum

Nous l’avons déjà dit, il y a beaucoup de rapports entre le judaïsme apostat naissant à l’époque d’Ezéchiel et la secte apostate de Vatican 2. Il est possible que Bergoglio prophétise contre lui-même, sans s’en rendre compte (il serait vraiment inquiétant qu’il le fasse consciemment). Clairement, la secte moderniste est semblable à la grande prostituée, la femme écarlate, assise près des grandes eaux, ainsi qu’il est écrit :

Puis l’un des sept anges qui portaient les sept coupes vint me parler en ces termes:  » Viens, je te montrerai le logement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux, avec laquelle les rois de la terre se sont souillés, et qui a enivré les habitants de la terre du vin de son impudicité. Et il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, et ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate; et richement parée d’or, de pierres précieuses et de perles; elle tenait à la main une coupe d’or, remplie d’abominations et des souillures de sa prostitution. Sur son front était un nom, nom mystérieux:  » Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.  » Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des martyrs de Jésus; et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. – Apocalypse 17;1-7

Clairement, la secte moderniste est semblable à l’infecte Jezabel, dont il est écrit :

Mais j’ai contre toi quelques griefs: c’est que tu laisses la femme Jézabel, se disant prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et mangent des viandes immolées aux idoles. Je lui ai donné du temps pour faire pénitence, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici que je vais la jeter sur un lit, et plonger dans une grande tristesse ses compagnons d’adultère, s’ils ne se repentent des œuvres qu’elle leur a enseignées. Je frapperai de mort ses enfants, et toutes les Eglises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs; et je rendrai à chacun de vous selon vos œuvres. Mais à vous, aux autres fidèles de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, qui n’ont pas connu les profondeurs de Satan (comme ils les appellent), je vous dis: Je ne vous imposerai pas d’autre fardeau ; seulement, tenez ferme ce que vous avez, jusqu’à ce que je vienne. – Apocalypse 2 ; 20-25

Le grand apologiste, le Révérend Père Sylvester Berry, dans son commentaire sur le livre de l’Apocalypse, commente d’ailleurs :

Saint Jean compare (dans Apocalypse 2 ;21-22) l’hérésie à l’adultère. Cette figure de style se trouve régulièrement dans l’Ancien Testament. Le Christ est Le vrai et seul époux des âmes. L’hérésie est un acte d’infidélité envers Lui. Notre Seigneur a fait preuve d’une miséricorde particulièrement en donnant du temps à cette fausse prophétesse et à ses disciples, pour qu’ils se repentent, mais ils ne le feront pas. Ils se trouvent maintenant sous la menace de terribles châtiments. Ils seront frappés de maladie et de mort. Toutes les églises doivent ici comprendre que le Christ ne tolérera ni l’hérésie, ni le schisme. – Rev. Père Sylvester Berry, Apocalypse of Saint John, p.45

Tenez bon, frères chrétiens, car le Seigneur Jésus arrive. Et la secte Vatican 2, François et tous ses complices criminels, ainsi que leur clergé pédomane, auront leur rétribution pour tout le mal qu’ils ont causé et continuent de causer dans le monde, ainsi qu’il est écrit :

Ne vous y trompez pas: on ne se rit pas de Dieu. Ce qu’on aura semé, on le moissonnera. Celui qui sème dans sa chair moissonnera, de la chair, la corruption ; celui qui sème dans l’esprit moissonnera, de l’esprit, la vie éternelle. – Galates 6 ;7-8

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