L’idolâtrie prenait sa naissance de ce profond attachement que nous avons à nous-mêmes. C’est ce qui nous avait fait inventer des dieux semblables à nous, des dieux qui, en effet, n’étaient que des hommes sujets à nos passions, à nos faiblesses et à nos vices ; de sorte que, sous le nom des fausses divinités, c’était en effet leurs propres pensées, leurs plaisirs et leurs fantaisies que les Gentils adoraient.
Monseigneur Jacques-Bénigne Bossuet, Discours sur l’histoire universelle, 2e partie, chapitre XXV.
L’oubli de Dieu, la disposition à tout admirer, à tout vénérer, à tout aimer plus que Dieu, à tout prendre pour fin dernière plutôt que lui, – voilà le fond général et permanent de l’idolâtrie.
Abbé Hyacinthe de Valroger, Du Christiannisme et du paganisme dans l’éducation, page 3.
Illustrations :
Haut, gauche : chute du régime hitlérien et procès des dignitaires nazis en 1945.
Haut, droite : Certaines tribus d’Afrique subissant jusqu’au XIXe siècle l’esclavage en raison de leur apostasie antique.
Centre : Evolution logique de l’entité sioniste, ici, le milieu gay, transexuel et dégénéré sioniste à Tel Aviv.
Bas, gauche : Entre 3000 et 4000 chrétiens ont été noyés, torturés, massacrés aux cours des « noyades de Nantes » pendant l’hiver 1793-94 sur ordre de la Iere République française.
Bas, droite : Jeunes mécréantes de souche donnant des représentations de « pole dance » en pleine journée au « marché de Noel » de Brest, début décembre 2016.