La doctrine catholique nous enseigne que le premier devoir de la charité n’est pas dans la tolérance des convictions erronées, quelque sincères qu’elles soient, ni dans l’indifférence théorique ou pratique pour l’erreur ou le vice où nous voyons plongés nos frères, mais dans le zèle pour leur amélioration intellectuelle et morale non moins que pour leur bien-être matériel. Cette même doctrine catholique nous enseigne aussi que la source de l’amour du prochain se trouve dans l’amour de Dieu, père commun et fin commune de toute la famille humaine, et dans l’amour de Jésus-Christ, dont nous sommes les membres au point que soulager un malheureux, c’est faire du bien à Jésus-Christ lui-même. Tout autre amour est illusion ou sentiment stérile et passager. Certes, l’expérience humaine est là, dans les sociétés païennes ou laïques de tous les temps, pour prouver qu’à certaines heures la considération des intérêts communs ou de la similitude de nature pèse fort peu devant les passions et les convoitises du cœur. Non, Vénérables Frères, il n’y a pas de vraie fraternité en dehors de la charité chrétienne, qui, par amour pour Dieu et son Fils Jésus-Christ notre Sauveur, embrasse tous les hommes pour les soulager tous et pour les amener tous à la même foi et au même bonheur du ciel. En séparant la fraternité de la charité chrétienne ainsi entendue, la démocratie, loin d’être un progrès, constituerait un recul désastreux pour la civilisation. Car si l’on veut arriver, et Nous le désirons de toute Notre âme, à la plus grande somme de bien-être possible pour la société et pour chacun de ses membres par la fraternité, ou, comme on dit encore, par la solidarité universelle, il faut l’union des esprits dans la vérité, l’union des volontés dans la morale, l’union des cœurs dans l’amour de Dieu et de son Fils, Jésus-Christ. Or, cette union n’est réalisable que par la charité catholique, laquelle seule, par conséquent, peut conduire les peuples dans la marche du progrès, vers l’idéal de la civilisation.
Pape Saint Pie X, Lettre encyclique sur « Le Sillon », paragraphe 24, Rome, 25 août 1910.
[…] les erreurs du judaïsme talmudique et a toujours cherché la conversion des juifs apostats. L’hypocrisie moderniste est criminelle : elle use d’une fausse charité pour dissimuler ses men… Car, il est certainement criminel de maintenir les juifs apostats dans leur hérésie, au péril de […]
[…] pourrait aisément accuser la secte modernisme d’être antisémite, puisqu’elle refuse d’agir en Vérité et en charité pour le bénéfice des […]
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[…] Certains évoquent alors l’esprit de martyr et une prétendue charité. Mais précisément, la charité n’est assurément pas de tolérer l’erreur, l’irréligion et le blasphème, bien au contraire. Saint Pie X nous enseigne à ce sujet : […]
[…] La hiérarchie moderniste justifie ces actes au nom d’une fausse notion de charité, laquelle découle naturellement des doctrines hérétiques de Vatican 2. Or, comme nous l’enseigne Saint Pie X : […]