Les Vaccins ARNm Pourraient Menacer L’appareil Reproductif Féminin

En décembre dernier, l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) a été victime d’une cyber-attaque. Celle-ci a permis de mettre la main sur près de 40 MB de documents confidentiels relatifs au vaccin Pfizer-BioNtech contre le Covid-19. Depuis lors, une étude du très réputé British Medical Journal a permis de révéler un certain nombre de données inquiétantes concernant l’instabilité de la technologie ARN messager.

Parmi ces données, plusieurs éléments permettent aujourd’hui de porter notre attention sur un risque potentiel extrêmement grave relatif au vaccin Pfizer, à savoir la possibilité de causer et de transmettre des désordres cellulaires héréditaires au niveau du cerveau ou de l’appareil reproducteur féminin.

Ce qui suit est le commentaire du Dr. Ah Kahn Syed qui a examiné ces données :

Les documents de l’EMA concernant le vaccin Pfizer montrent que les particules du vaccin sont massivement séquestrées au niveau des ovaires.

Veuillez cependant noter que ce test clinique a été réalisé sur un modèle animal (souris/rat) et que la pharmacocinétique de l’absorption ovarienne peut être différente en fonction des espèces. Il n’est pas possible à l’heure actuelle de réaliser ces expérimentations sur des humains.

Notez également que ceci ne confirme pas l’existence d’un composant stérilisant dans ce vaccin. Toutefois, tout ceci pose un certain nombre de questions qui nécessitent des réponses, réponses que je suis loin d’être le seul à demander.

Le tableau ci-dessous provient des documents ayant fuité de l’EMA.

Ce paragraphe ci-dessous confirme la distribution des particules vers les ovaires, mais se base sur des études parlant « de non-identification d’effets » (autrement dit, d’effets non publiables ou non vérifiables).

Cependant, nous disposons maintenant d’une bonne traduction de l’étude de l’autorité médicale japonaise concernant les essais cliniques du vaccin Pfizer. Cette étude démontre l’accumulation de lipides à nanoparticules dans les ovaires. Voici quelques passages importants :

Fin du commentaire du Dr. Ah Kahn Syed.


Comme dit, le Dr. Kahn Syed est loin d’être le seul à s’inquiéter du comportement de l’ARN messager dans l’organisme humain. Cette question fut d’ailleurs soulevée d’une façon très synthétique par un chirurgien français sur le plateau de BFM TV :

L’émission fut retirée des serveurs de BFM TV quelques heures plus tard et la chaine d’information (ou plutôt de désinformation) publia par la suite un Tweet pour se désolidariser de « propos mensongers et de fausses informations ».

L’invraisemblable propagande vaccinatoire, combinée aux lourds soupçons de collusion politico-financière, ne facilite évidemment pas le débat public et scientifique en ce qui concerne les risques potentiels relatifs aux principaux vaccins contre le COVID-19 qui utilisent la biotechnologie de l’ARN Messager.

Hormis les dizaines de milliers d’effets secondaires graves et de morts liés aux quatre principaux vaccins et répertoriés dans la base de donnée de la pharmacovigilance de l’Union Européenne, hormis l’empressement extrêmement suspect avec lequel on a d’abord incité, puis contraint les populations occidentales à se faire vacciner, et hormis l’inefficacité désormais admises (sauf en France) de ces thérapies géniques, d’autres interrogations, pour l’instant totalement hypothétiques, demeurent.

Soyons clairs et posons la question tout de go : il y a-t-il une volonté de provoquer une dégénérescence reproductive dans une partie de la population humaine afin d’aboutir, d’ici une ou deux générations, à une réduction drastique de la population mondiale ?

Si oui, qui pourrait en être responsable ? L’ampleur d’un tel complot parait improbable. Mais il faut bien dire que plus rien ne doit nous surprendre en 2021.

D’une part, de nombreuses personnalités de l’hyperclasse mondialiste ont publiquement avoué être en faveur d’une forme ou une autre de contrôle des naissances en vue d’aboutir à une dépopulation drastique de la population mondiale.

https://twitter.com/TheFreds/status/1423228722379960321?s=20

D’autre part, il est désormais admis et documenté que par le passé, des états ou des organisations privées ont procédé à des campagnes de vaccination dont le but caché était de stériliser certaines populations. En l’occurrence, il s’agissait donc de cibler des populations bien particulières.

Par exemple, les aurorités conciliaires au Kenya s’étaient publiquement opposées aux campagnes de vaccination contre le tétanos, estimant que les vaccins utilisés conduisaient à une stérilisation des femmes.

Autre exemple, il y a un peu moins d’une dizaine d’années, il a été révélé que l’état Juif procédait à des campagnes de stérilisation des femmes éthiopiennes Falashas immigrées en Terre Sainte, afin de limiter leur reproduction. Cette stérilisation était réalisée au moyen d’injections de prétendus vaccins.

Dans le cas présent, si l’on prend l’hypothèse extrême d’un vaste plan de dépopulation, on peut légitimement objecter en remarquant que la campagne de vaccination actuelle vise indistinctement l’ensemble de la population française.

À ce stade, on peut donc difficilement croire qu’il s’agit par exemple, de cibler les populations les plus fragiles, les plus pauvres ou encore celles qui sont jugées les plus couteuses et les plus inutiles par les planistes globalistes. Imagine-t-on par exemple les élites Juives procéder volontairement à la réduction de leur population dans l’État hébreu, l’une des populations les plus vaccinées au monde ?

Quoiqu’il en soit, plus le temps avance, plus la nature de ces vaccins, ainsi que la campagne de propagande qui les accompagnent, est inquiétante. Il faudra sans doute encore attendre quelques années pour disposer d’études scientifiques impartiales plus poussées.

À écouter (pour les anglophones), cette émission sur les effets secondaires graves liés aux vaccins contre le COVID avec le Dr. Byram Bridle, professeur associé en virologie à l’Université de Guelph (Ontario).

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