[In Memoriam] Dom Augustin Calmet, grand exégète lorrain

Antoine Calmet, Dom Augustin en religion, grand exégète, fut l’un des savants catholiques les plus laborieux et les plus excellents qu’ait produit l’ordre de St-Benoît. Il naquit dans un milieu modeste, le 26 février 1672, à Mesnil-la-Horgne, près de Commercy (Lorraine). Son père était maréchal ferrant. Il fit ses premières études au prieuré de Breuil, où il puisa, avec le désir d’acquérir des connaissances, ce goût de la retraite et de la vie cénobitique qui décida de sa vocation. À 15 ans, il entre à l’université de Pont à Mousson et suit les cours de rhétorique du père jésuite Ignace L’Aubrussel, qui fut plus tard le confesseur de la reine d’Espagne. Après avoir prononcé ses vœux dans l’abbaye de Saint Mansuy de Toul, le 23 octobre 1689, Dom Calmet alla faire sa philosophie à l’abbaye de Saint Evre, et sa théologie à l’abbaye de Munster. Il reçoit le sacerdoce le 1er mars 1696 à Arlesheim, dans la région de Bâle. C’est en l’abbaye de Munster qu’il dit sa première messe, le 24 avril de cette même année.

Dans le même temps, une grammaire hébraïque de Buxtorf étant tombée entre ses mains, il forma le dessin d’apprendre l’hébreux, et se livra à cette étude avec une application et une constance qui lui en firent surmonter les premières difficultés sans le secours d’aucun maître : il se mit ensuite, avec la permission de ses supérieurs, sous la direction d’un ministre luthérien nommé Fabre, qui lui procura des livres en hébreux, et lui rendit bientôt la lecture familière. Les jésuites, ayant remarqué ses dispositions, essayèrent de l’enrôler, mais, attiré par l’érudition, il choisit de vivre parmi les bénédictins. Il étudia aussi la langue grecque, dont il avait appris les premiers éléments au collège, et s’y rendit fort habile. C’est ainsi que, bien formé en hébreu et en grec, il se prépara à l’étude des Écritures, où il fit des progrès si rapides, qu’au bout de quelques années il fut chargé de les expliquer à ses confrères dans l’abbaye de Moyenmoutier. De cette abbaye, il passa, en 1704, à celle de Munster, où il continua à enseigner les jeunes religieux. Les leçons qu’il composait pour eux servirent de base aux Commentaires sur l’Ancien et le Nouveau Testament, qu’il écrivit en Latin. Dom Mabillon et Duguet, à qui il les communiqua, lui conseillèrent de les traduire en français, afin d’en rendre la lecture possible à un plus grand nombre de personnes. Dom Calmet suivit cet avis, et l’ouvrage paru de 1707 à 1716.

Le savant Fourmont et l’oratorien Richard Simon l’attaquèrent par quelques écrits dont l’autorité arrêta la publication, par la raison qu’une controverse sur de semblables matières n’était pas sans danger. Dom Calmet, débarrassé de ses critiques, n’eut donc plus qu’à jouir de son ouvrage, qui eut, en peu de temps, plusieurs éditions. Son Histoire de l’Ancien et du Nouveau Testament, et son Dictionnaire de la Bible, ajoutèrent à sa réputation. Il fut récompensé de ses grands travaux par sa nomination à l’abbaye de St-Léopold de Nancy, en 1718, d’où il fut transféré, dix ans après, à celle de Sénones, capitale de principauté de Salm, où il passa le reste de sa vie laborieuse dans l’exercice des devoirs de son état et la pratique de toutes les vertus chrétiennes. Encore plus modeste que savant, il écoutait les critiques et en profitait ; il accueillait les jeunes gens qui montraient des dispositions, et les aidait de ses conseils et de ses livres. Le pape Benoît XIII lui offrit un évêché ‘in partibus’, qu’il refusa constamment, préférant les douceurs de la retraites aux honneurs qu’il aurait pu obtenir dans le monde[1]. Le profond savoir de Dom Calmet, attesté pat ses importants et nombreux écrits, semblait faire de cet auteur une autorité infaillible. Cependant l’attention de quelques critiques, même bénévoles, fut éveillée peu à peu, et l’on ne tarda pas à reconnaître quelques erreurs plus ou moins graves. On sut bientôt que ces erreurs ne pouvaient lui être imputées, et provenaient de ses collaborateurs, qui, bien que pris dans son ordre et travaillant sous ses yeux, n’apportaient pas le même soin que lui dans leurs recherches. Malgré ces minimes imperfections, le mérite de cet immense exégète traverse les siècles jusqu’à nous, et probablement jusqu’à la fin du monde.

Dom Calmet, une sommité catholique au siècle du rationalisme des Lumières

Dom Augustin Calmet eut la particularité d’être un exégète catholique de la plus haute orthodoxie, en plein siècle des « Lumières » et du rationnalisme impie. De façon curieuse, sa route croisa celle de l’infect Voltaire.  Le mécréant et hypocrite Voltaire écrivit à l’auguste savant en 1748 en lui demandant la permission de le visiter, écrivant pompeusement : « Je préfère, monsieur, la retraite à la cour, et les grands hommes aux sots… Je veux m’instruire avec celui dont les livres m’ont formé, et aller puiser à la source. Je serai un de vos moines. Ce sera Paul qui ira visiter Antoine ». Humble et bienveillant, Dom Calmet accepte. En fait, Voltaire ne se rendit à Senones qu’en 1754 et son but était avant tout de pouvoir abreuver son esprit malade, de « gourmander son imagination », auprès de l’immense et inestimable bibliothèque de Dom Calmet. Au bout de trois semaines passées à dissimuler sa mécréance et à recopier tout ce qui pourrait servir à la correction de son Histoire Générale, pour laquelle il copia sans honte de nombreux passages de l’Histoire Universelle, Sacrée et Profane de Dom Calmet, Voltaire quitta Senones pour se rendre à la cure thermale de Plombières. En 1757, il écrit une lettre à son ami Cideville, dans laquelle on s’aperçoit mieux encore de son impiété moqueuse et dilettante : « Ses antiques fatras ne sont pas inutiles Il faut des passetemps de toutes les façons, Et l’on peut quelquefois supporter les Varrons, Quoiqu’on adore les Virgiles ». Fourbe et pleutre, Voltaire n’attaqua jamais une sommité telle que Dom Calmet tant que celui-ci était en vie[2]. En revanche, après la mort du bénédictin, Voltaire ne se prive plus de médire et d’insulter celui qui l’avait généreusement accueilli. Tout à fait dans l’état d’esprit arrogant, inconsistant et calomniateur des polémistes irréligieux de son temps, se mit à attaquer publiquement Dom Calmet dans son Dictionnaire philosophique, paru en 1764. En effet, en 1746, Dom Calmet, qui avait un côté sociologue et qui s’intéressait également aux légendes populaires et aux faits divers que l’on qualifierait aujourd’hui de paranormaux, avait rédigé un Traité sur les apparitions des esprits et sur les vampires. A la fin de cet ouvrage, il conclut que les vampires sont des créatures fictives, tous droits tirés des imaginations fécondes d’Europe de l’Est. Néanmoins, Voltaire, qui n’a évidemment pas la peine de lire l’ouvrage, n’a qu’un but, se moquer de l’érudit lorrain afin de mieux attaquer la religion elle-même. On lit ainsi dans son Dictionnaire Philosophique :

Quoi ! C’est dans notre 18e siècle qu’il y a eu des vampires ! C’est après le règne des Locke, des Shaftesbury, des Trenchard, des Collins ; c’est sous le règne des d’Alembert, des Diderot, des Saint-Lambert, des Duclos qu’on a cru aux vampires, et que le RPD Augustin Calmet, prêtre, bénédictin de la congrégation de Saint-Vannes et de Saint-Hydulphe, abbé de Senones, abbaye de cent mille livres de rente, voisine de deux autres abbayes du même revenu, a imprimé et réimprimé l’Histoire des Vampires, avec l’approbation de la Sorbonne, signée Marcilli !

Allant plus loin encore, toujours dans le même Dictionnaire Philosophique, l’hypocrite et prétentieux Voltaire va même jusqu’à l’injure : « cet imbécile de Dom Calmet »[3]. Toujours dans le même ouvrage, et s’essayant à l’exégèse biblique, uniquement pour attaquer virulemment le christianisme, lui qui ne sait pas un mot d’hébreu, lâche encore : « le bon Calmet ou dom Calmet (car les Bénédictins veulent qu’on leur donne du dom), ce naïf compilateur de tant de rêveries et d’imbécillités, cet homme que sa simplicité a rendu si utile à quiconque veut rire des sottises antiques »[4].

Las ! Tandis que Voltaire passe à la postérité pour avoir été l’ignoble impie qu’il fut une bonne partie de sa vie, Dom Calmet, lui, entre dans la gloire de la céleste patrie, après une vie à servir Dieu et à exalter la Sainte Ecriture par ses intemporels commentaires. Dom Augustin Calmet mourut à Sénones, le 25 octobre 1757, après une attaque de paralysie. Sa biographie fut écrite par Fangé, son successeur et neveu. Il s’était fait cette épitaphe, remarquable par sa modestie et sa simplicité :

Frater Augustinus Calmet Natione Gallus, religione catholico-romanus, Professione monachus, nomine abbas, Multum legit, scripsit, oravit, Utinam bene !

Retrouvés vers la fin du 19e siècle, les restes du bénédictin lorrain Dom Calmet (profanés par les sans-culottes lors de la Révolution) furent inhumés une seconde fois, en présence de l’alsacien Mgr. Freppel, évêque d’Angers, dans la nouvelle église paroissiale de Senones, le 26 octobre 1873. Dom Calmet a été honoré en Lorraine, où l’on trouve plusieurs rues à son nom : Les places Dom Calmet à Commercy et Senones, la rue Dom Calmet à Nancy, la rue Dom Calmet à Metz et la rue Dom Calmet à Lupcourt.

Bibliographie commentée de Dom Augustin Calmet

L’œuvre de Dom Augustin Calmet est impressionnante, tant en qualité qu’en quantité. Il reste surtout connu jusqu’à aujourd’hui comme un immense exégète, commentateur et fin connaisseur de la Sainte Ecriture, en particulier de l’Ancien Testament. La méthode exégétique de Dom Calmet se borne presqu’exclusivement au sens littéral de l’Ecriture, ce qui rend son œuvre particulièrement utile pour la compréhension simple des contextes historiques des différentes époques, les biographies des personnages, mais aussi pour la compréhension philologique de certains passages.

Ses ouvrages exaltent tout spécialement les saints personnages et les héros de l’Ancien Israël. Conformément à la plus pure théologie exégétique, Dom Augustin Calmet rappelle l’enseignement des pères et du Magistère, à savoir que l’Eglise, la Nouvelle Alliance, est le Nouvel Israël. Il rappelle également l’indéfectibilité de ces alliances, c’est-à-dire que l’ancienne alliance ne pouvait faillir avant la venue du Messie. Celui-ci arrivé, une Nouvelle Alliance, prophétisée par tous les prophètes, prend place, tout aussi indéfectible, mais cette fois ci parfaite. Il enseigne ainsi :

La vraie religion est passée des Hébreux aux chrétiens, sans interruption et sans milieu : et on n’aura jamais une notion bien distincte du christianisme, que l’on n’y joigne la connaissance de l’histoire et de la religion des Judéens. L’ancienne et la nouvelle Alliance, à le bien prendre, n’en font qu’une, dont Jésus-Christ est le milieu, le lieu, et le centre.

A ce propos, il est intéressant de voir comment Voltaire, avec Kant et bien d’autres philosophes des Lumières, inaugure l’antisémitisme moderne, racialiste, lequel se fonde en fait complètement sur la haine du christianisme. Comme le reconnait Banderier, « L’antisémitisme de Voltaire est, on l’a dit, la conséquence logique de son antichristianisme »[5] et en effet, il suffit pour s’en apercevoir, de lire les articles des Questions sur l’Encyclopédie,

En revanche, Banderier se montre aussi sot que Voltaire en affirmant dans son étude que Dom Calmet était également un « antisémite », bien que de tradition catholique et donc d’une source différente que l’antisémitisme de Voltaire :

Aux yeux de dom Calmet, les Juifs demeurent le peuple déicide, frappé d’infamie. On sait pourtant que l’abbé de Senones a appris l’hébreu seul et qu’il connaît la religion, les us et coutumes du judaïsme comme peu de gens à son époque. Pour Voltaire, les Juifs doivent être combattus, à la fois parce qu’ils sont le tronc sur lequel s’est enté le christianisme et parce qu’en raison de leur irrédentisme, ils ne sont pas réductibles à l’universalisme des Lumières (ce que dira également Kant).[6]

Naturellement, Banderier, malgré l’intérêt que ses compilations épistolaires sur Dom Calmet ont pour nous, se méprend pathétiquement en accablant Dom Calmet d’une calomnie aussi incongrue que celle « d’antisémitisme », un sentiment fondamentalement étranger à n’importe quel catholique intègre et bien formé. En revanche, en effet, l’antisémitisme est bien réél chez Voltaire et les autres philosophes impies de son temps : pour ces derniers, aucune distinction entre race et religion, encore moins entre la religion mosaïque que les catholiques exaltent, et la religion des juifs talmudiques, c’est-à-dire celle de ceux qui se revendiquent de l’héritage des pharisiens déicides et apostats. Pour Voltaire, pour qui le salut, la foi, la piété, le zèle, ne sont que des synonymes de superstition, fable, stupidité et fanatisme, la conversion d’un juif au catholicisme n’a aucune valeur. C’est la race même qu’il attaque, la qualifiant de « peuple le plus infecté en tout genre qui ait jamais sali notre malheureux globe ». Les accusations de Banderier contre un catholique comme Dom Calmet sont donc d’autant plus idiotes, qu’il admet finalement, dans un article fort intéressant et paru en 2014 dans la très moderniste revue « La Nef »[7], que ce sont justement des grands prélats catholiques comme Dom Calmet ou comme l’abbé Guénée qui furent les premiers à condamner l’antijudaïsme fanatique des philosophes des Lumières. L’assertion de Banderier dans son étude de 2011 est donc d’autant plus ignare et injuste, que Dom Calmet fut l’auteur d’œuvres à la gloire du peuple de l’Ancien Israël, telles que « Sur l’excellence de l’histoire des Hébreux, par-dessus celles des autres nations ». C’est d’ailleurs l’exaltation de l’Ancien Israël et de la première partie de l’Ecriture Sainte, qui provoqua l’antisémitisme « illuminé » d’un Voltaire, pour qui tout l’Ancien Testament n’était qu’une suite de fables atroces qui, dans son esprit, ne faisaient que prouver que les juifs modernes étaient la plus abominable race qui ait jamais existé. En fait, on s’aperçoit que beaucoup d’auteurs de cette période ont dissimulé leur antichristianisme en attaquant l’Ancien Testament par un antisémitisme virulent, l’attaque frontale du catholicisme ne leur étant pas encore permise, avant la Révolution Française.

Quant au reste de l’œuvre de Dom Calmet, citons ici les sommes exégétiques :

La Bible en latin et en français, avec un Commentaire littéral et critique, Paris, 1707-1716, 23 volumes.

Commentaires sur l’Ancien et le Nouveau Testament, en latin puis en français, 1707-1717, 26 volumes.

Dictionnaire historique et critique de la Bible, Paris, 1722-1728, 2 volumes.

Histoire de l’Ancien et du Nouveau Testament.

Histoire universelle sacrée et profane, Strasbourg, 1735-1747.

Le lecteur friand des Saintes Ecritures trouvera sur ce site, la plupart des œuvres de Dom Calmet, numérisées en PDF : http://jesusmarie.free.fr/augustin_calmet.html

Le Dictionnaire biblique de Dom Calmet est également disponible en ligne, en texte plein, sur ce site : http://456-bible.123-bible.com/calmet/calmet.htm

Dom Calmet a également beaucoup écrit sur la Lorraine catholique et son histoire :

Histoire de Lorraine, Nancy.

Abrégé de l’histoire de la Lorraine, Nancy, 1734

Bibliothèque lorraine, ou histoire des hommes illustres qui ont fleuri en Lorraine, Nancy, 1751.

Dissertation sur les grands chemins de Lorraine, Nancy, 1727.

Histoire de l’abbaye de Munster, chez L. Lorber, J. B. Jung & Cie, Colmar, 1882.

Histoire de l’abbaye de Senones, Saint-Dié, posthume, 1877-1881.

Histoire du prieuré de Lay, Lucien Wiener, 53 rue des Dominicains, Nancy, 1863 lire en ligne

Histoire ecclésiastique et civile de la Lorraine, Nancy, 1728, 4 volumes.

Histoire généalogique de la maison du Châtelet, Nancy, 1741

Notice de la Lorraine, Nancy, 1756, lire en ligne

Traité historique des eaux et bains de Plombières, de Luxeuil et de Bains, Nancy, 1748

Et bien sûr, son fameux Traité sur les apparitions, les esprits et les vampires :

Dissertations sur les apparitions des anges, des démons et des esprits, et sur les revenants et vampires de Hongrie, de Bohême, de Moravie et de Silésie, Paris, De Bure l’aîné, 1746, revu et augmenté en 1751, que l’on peut également trouver en version numérique gratuite : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68179p.image.f2.langFR.pagination


[1] F. BECHTEL, article “Dom Augustin Calmet”, Catholic Encyclopedia, New York, Robert Appleton Company, 1908.

[2] Sur la singulière relation entre Voltaire et Dom Calmet, on lira avec profit GILLES BANDERIER, « Un cas particulier de “tolérance” : Voltaire et dom Calmet », in La République des Lettres, Voltaire, la tolérance et la justice, Peeters, John Renwick, n°41, pp.35-63. https://www.researchgate.net/publication/283355674_Un_cas_particulier_de_tolerance_Voltaire_et_dom_Calmet

[3] Dictionnaire philosophique, éd. sous la direction de Christiane Mervaud, article «David», OCV, t. 36, p. 7.

[4] Dictionnaire philosophique, OCV, t. 36, p. 252

[5] Ibid.

[6] Ibid.

[7] GILLES BANDERIER, Voltaire antisémite, in La Nef, n°261, juillet-aout 2014, http://archive.wikiwix.com/cache/?url=https%3A%2F%2Fwww.lanef.net%2Ft_article%2Fvoltaire-antisemite-gilles-banderier-25957.asp%3Fpage%3D0

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3 commentaire

  1. […] nous avions déjà parlé précédemment, en constatant que Voltaire et d’autres, dans le mouvement des Lumières, furent à l’origine […]

  2. […] renouvelées de vieilles hérésies, telles que le marcionisme, ou de vieilles erreurs, telles que l’antijudaïsme voltairien. De fait, cet antisionisme traite généralement le catholicisme avec dédain et s’avère […]

  3. […] de vieilles hérésies, telles que le marcionisme, ou de vieilles erreurs, telles que l’antijudaïsme voltairien. De fait, cet antisionisme traite généralement le catholicisme avec dédain et s’avère […]

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