À un certain moment dans l’histoire de l’Église, seulement quelques années avant la prêche de Grégoire [Saint Grégoire de Naziance] (380 A.D.), le nombre d’évêques …
Pères de l’Eglise
Saint Jean Chrysostome : Preuves bibliques de la naissance de Jésus-Christ un 25 décembre
Attendez donc la récompense d’un pareil zèle, de Jésus, qui est né aujourd’hui selon la chair, et qui récompensera votre ardeur comme elle le mérite; …
Saint Augustin : La Royauté de Jésus-Christ
Quel intérêt pour le Roi des siècles de devenir le roi des hommes ? Le Christ n’est pas roi d’Israël pour lever un tribut, pour …
Saint Augustin : le voile de la femme catholique
Je ne veux pas pourtant que vous vous hâtiez d’interdire les parures d’or et les riches vêtements, sauf à l’égard de ceux qui, n’étant pas mariés et ne désirant pas se marier, ne doivent songer qu’à plaire à Dieu. Quant aux autres, ils pensent à ce qui est de ce monde; les maris cherchent à plaire à leurs femmes et les femmes à leurs maris. Il ne convient pas pourtant que les femmes, même celles qui sont mariées, laissent voir leurs cheveux : l’Apôtre veut qu’elles soient voilées. Pour ce qui est de l’emploi du fard afin de se donner plus d’éclat ou de blancheur, c’est une misérable falsification : je suis bien sûr que les maris eux-mêmes ne voudraient pas être ainsi trompés; or, c’est seulement pour leurs maris qu’il est permis aux femmes de se parer : c’est une simple tolérance et non point un ordre. Car la vraie parure, surtout des chrétiens et des chrétiennes, ce n’est point le charme menteur du fard, ni l’éclat de l’or, ni la richesse des étoffes, ce sont les bonnes moeurs.
Saint Augustin, Lettre CCXLV, « Lettre à mon ami Possidius ».
Saint Athanase : La Visibilité de l’Eglise
» Les catholiques fidèles à Dieu dans la sainte Tradition, même s’ils sont réduits à une poignée, voilà ceux qui sont la vraie Église de …
Saint Irénée de Lyon : Les Faux Pasteurs
Aussi faudra-t-il que toi-même, ainsi que tous ceux qui lisent cet écrit [gnostiques au nom menteur] et ont le souci de leur salut, vous n’alliez pas, dès que vous entendez le son extérieur de leurs paroles, vous courber spontanément sous leur loi. Car tout en tenant aux fidèles le même langage que nous, ainsi que nous l’avons déjà dit, ils ont des pensées non seulement différentes, mais à l’opposé des nôtres et toutes remplies de blasphèmes, et ils tuent par là ceux qui, sous la ressemblance des mots, attirent en eux le poison fort dissemblable de leur sentiment intérieur. C’est comme si quelqu’un donnait du plâtre mêlé à de l’eau en guise de lait et trompait ainsi les gens par la ressemblance de la couleur. Comme le disait un homme supérieur à nous, à propos de tous ceux qui, d’une manière quelconque, corrompent les choses de Dieu et altèrent la vérité : « Il est mal de mêler le plâtre au lait de Dieu ».
Saint Irénée de Lyon, « Contre les hérésies », Livre III, IIe Partie, 1.17, 4
Tertullien : Le Voile de la Femme Chrétienne
Nous sommes scandalisées, disent les filles mondaines, de ce que d’autres marchent voilées; et elles aiment mieux s’en scandaliser que de les imiter. Le scandale, …