Nous en parlions dans un précédent article : l’épidémie de Coronavirus produit des effets proprement providentiels contre le monde impie, en particulier contre la pratique barbare de l’avortement. On vient d’apprendre par plusieurs dépêches que « toutes les cliniques abortives en Ohio se sont vues notifier l’ordre de cesser leurs opérations au moment où l’état réquisitionne les services médicaux » dans le cadre de l’épidémie de Coronavirus.
Le média mainstream libéral CBS se lamente : « mise en place, cette injonction rendrait les avortement très difficiles à obtenir dans un état qui cherche déjà à limiter et restreindre de façon offensive ces procédures ».
Si cette nouvelle providentielle, annoncée vendredi par le procureur général Dave Yost, peut nous donner de l’espoir pour les enfants qui seront sauvés de l’abominable machine à avorter, il convient de la relativiser : pour le moment, cette injonction n’a été adressée qu’à deux cliniques, le Women’s Med Center de Dayton et le Planned Parenthood du Centre de Chirurgie de Cincinnati. De plus, Yost a ordonné de seulement cesser les « avortements non essentiels », pour des motifs officiellement purement logistiques.
Notons encore que pendant cette crise sanitaire globale, les politiques anti-avortement votées par certains états américains restent en suspens, en attente d’une approbation, ou d’un refus, de la cour suprême.