L’épidémie de Coronavirus génère différents types de réaction : Il y a ceux qui, inconscients, continuent de hausser les épaules en se figurant qu’on en fait trop et que les médias exagèrent la portée réelle de cette grippe. Il y a ceux qui optent pour un complotisme un tantinet extrême et qui voient dans cette pandémie une opération de guerre bactériologique contre les populations orchestrée de A à Z par les élites mondialistes occultes. Enfin, il y a ceux qui comme nous, adoptent une vision réaliste : la pandémie est réelle, elle fait des morts de façon rapide, elle génère une situation d’intense stress social, géopolitique et économique. Dans le même temps, nous avons conscience que nous sommes gouvernés par des incapables. Nous avons aussi conscience que les grands de ce monde ne sont pas des enfants de chœur, c’est le moins que l’on puisse dire.
Dans ce cadre, il sera utile de se remémorer les propos suivants du tristement célèbre parasite politique français Jacques Attali, qui déclarait les choses suivantes dans une rubrique de L’Express, le 3 mai 2009 :
L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs).
Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique.
La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes, [car elle fera surgir, ndlr], mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé.
Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine – inévitable – on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins.
On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial.
Nous laissons ce texte sans commentaires additionnels, à la discrétion de nos lecteurs.
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