La semaine dernière, « l’artiste » impie Déborah de Robertis, dont le « talent » se résume à se dénuder sans honte dans des lieux publics (y compris devant des enfants, donc) pour faire « passer un message » (en vérité par infestation démoniaque manifeste et obsession narcissique), a poussé le vice jusqu’au point de se rendre au sanctuaire de Lourdes pour y blasphémer la Très Sainte Vierge Marie et Sainte Marie-Madelaine. En observant les images, hélas, de cette abominable acte de profanation, partagées par quelques contacts espagnols ou du sud de la France, la chose qui m’a le plus stupéfait fut de constater l’apathie absolue des touristes (car ce ne sont manifestement pas de vrais croyants) qui déambulaient passivement à côté de l’impie, dans la plus grande indifférence, les rares personnes ayant réagi l’ayant fait avec la mollesse et l’hypocrisie commune aux modernistes et aux faibles de ce temps présent. Disons-le avec la plus grande sincérité : si nous nous étions personnellement trouvés à cet endroit à ce moment-là, nous sommes certains que nous nous serions rués sur cette maudite pour lui administrer une légitime bastonnade, avant de l’expulser ou de la livrer aux autorités, peu importe si, très probablement, c’eut été nous-mêmes que la police de cette société impie et injuste eut jetés les premiers en cellule (cf. l’histoire choquante de ce père de famille lyonnais placé en garde à vue pour avoir livré à la police les agresseurs de son fils). Et je pense que si cette sotte eut osé commettre cet acte aussi misérable qu’abominable au début du siècle dernier, ou même dans les années 1980, il est à peu près certain qu’elle ne serait pas ressortie de l’endroit sans s’être fait arracher le quart du cuir chevelu et qu’elle eut été livrée à la police le corps couvert de bleus et de contusions, car même dans les années 1980, la génération de catholiques d’alors, malgré leur adhésion au modernisme, conservait encore certainement quelques réflexes anthropologiques qui leur aurait permis de comprendre qu’il s’agissait là d’une insupportable insulte dont le juste et immédiat châtiment ne pouvait être autre chose qu’un passage à tabac en bonne et due forme. Mais comme nous le savons, l’apostasie, l’indifférentisme, la mécréance, le relativisme, sont les signes les plus nets de la décadence de l’esprit, mais aussi du corps, donc de la race, ainsi que l’enseigne à juste titre le pape Pie XII. Et cet épisode lamentable n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, de la course de cette pente raide, glissante et rapide, qui conduit les peuples apostats à la plus grande impuissance. Nous l’avons vu depuis des décennies, et nous le voyons mieux encore au regard de tout ce qui se passe dans leur société : immigration massive, délinquance, scandales politiques, affaires de mœurs, touchant petits et grands, enfants et parents, qui ainsi, sont parvenus à leur rêve idiot d’égalitarisme. En effet, tous, dans cette société d’apostats, sont égaux en indignité, en infériorité et en dégénérescence, peu importe leur race, leur richesses, leur situation sociale. Leur faiblesse morale s’est convertie en faiblesse physique. Il ne leur reste plus que l’hystérie, phénomène typique des efféminés, des infestés et des diaboliques, pour toute forme de révolte. Ainsi sont-il sans secours face à tout ce qui leur semble injuste dans leurs propres nations et même les étrangers les jugent avec raison comme les animaux sans âme qu’ils sont devenus, car ils ont tout fait et font tout pour persister dans l’erreur, dans l’immodestie et dans l’impiété, et ces mots semblent encore faibles pour décrire ces phénomènes. Pire encore, leur société est si perverse que même les étrangers, loin de se convertir à la foi catholique, se convertissent à la décadence morale et à l’impiété, puisque les uns et les autres, musulmans, modernistes, judaïsants, athées, relativistes, déistes de toutes sortes, partagent tous en commun l’infériorité mentale et spirituelle des hérétiques et des apostats forcenés. En réalité, les exemples des De Robertis, des Femen ou des attentats islamistes (lesquels sont de surcroît, pour la plupart, hypocritement et manifestement facilités, sinon plus, par un pouvoir ouvertement complice) exposent les mêmes causes et résultent dans des conséquences essentiellement similaires. Les plus irréalistes des réactionnaires se contenteront quant à eux de rediriger sur les autres leur propre faiblesse et hypocrisie (« pourquoi elle ne va pas faire ça à la mosquée, à la synagogue, etc.) ou d’évoquer avec nostalgie la « dignité » des vedettes des années 1950, des années 1920 ou du XIXe siècle, sans se rendre compte que de tels exemples ne sont que les étapes qui ont précédé les aboutissements extrêmes que nous voyons aujourd’hui répandus partout.

Et nous pouvons en dire de même, nous l’avons déjà remarqué, à l’égard de la secte moderniste qui règne illégalement à Rome et dans les possessions matérielles de la Sainte Eglise. La secte moderniste n’est rien d’autre qu’un royaume de ce monde, semblable à bien des égards à ces sociétés impies et postrévolutionnaires dont elle veut toujours imiter l’esprit, s’adapter et adopter toutes les turpitudes, y compris les pires inversions pédérastes et antimorales, comme les récents scandales le démontrent bien. Ce qu’il y a de vraiment remarquable, pour une fois, dans la « performance » de l’impie Déborah de Roberts, est la justification qu’elle a fourni pour son acte de profanation. Passons les absurdités féministes de cette hypocrite et de toute sa génération, prétendant « redonner sa dignité à la femme » en se dénudant, en agissant en somme, comme la dernière des catins, pire encore, comme de pures créatures animales, ce qui est un paradoxe insondable pour ces aveugles et ces pauvres folles, qui ne se rendent même pas compte qu’elles tombent plus bas encore que la truie, qui a plus de dignité qu’elles. De Robertis a apporté l’étonnante justification : Marie serait à Lourdes ce que la Joconde serait au Louvre (De Robertis y avait également fait une « performance » du même type), « adulée mais aussi utilisée comme la poule aux œufs d’or » sur des tasses, tee-shirts et porte-clefs.
A ce titre, même l’infecte dégénérée De Robertis a objectivement raison, car même le dernier des païens est capable de raisonner sur des évidences. Toutefois, De Robertis ignore évidemment que c’est la secte moderniste, et non pas l’Eglise catholique, qui occupe actuellement ces lieux ainsi que bien d’autres, en complète illégalité. Et en effet, le public qu’on voit se presser de nos jours à Lourdes est essentiellement un public profane, de touristes et ceci inclut une bonne partie des ouailles du Novus Ordo, qui, les malheureux, ne sont rien d’autre que cela, hélas.

Mais ainsi, nous voyons que désormais, c’est l’esprit de ce monde, et les personnes les plus endiablées de ce monde, qui jugent la secte non-catholique de Vatican 2, à juste titre d’ailleurs, puisque comme nous l’avons observé, cette secte n’est rien d’autre qu’un ordre (plutôt un désordre) temporel. Nous le voyons aussi avec les affaires retentissantes de crimes pédérastes et homosexuels des faux prêtres de la secte aux Etats-Unis ou ailleurs : c’est le pouvoir temporel américain, pourtant totalement impie, qui juge désormais à ciel ouvert, les crimes anti-moraux de ces hérétiques et étrangers à la foi catholiques, lesquels attendent un jugement bien plus juste, sévère et suprême, pour oser ainsi usurper la sainte prêtrise, la sainte Eglise et les saints sacrements, choquer et damner des dizaines, que dis-je, des centaines de milliers d’âmes à travers le monde. Ainsi, la remarque de De Robertis est pour le coup pertinente. Que sont ces infects hérétiques et intrus, McCarrick, Bergoglio, Wuerl, Ricca, Paglia, Dolan et tous les autres ? Pourquoi se prétendent-ils catholiques, prétendant consacrer leur vie à Dieu, en plus d’être des hérétiques publics, invalidement ordonnés pour la plupart, pourquoi prétendent ils consacrer leur vie à la Sainte Foi, tandis que même des athées et des non-catholiques sont capables de les identifier comme des non-catholiques ? Nous le savons : beaucoup d’entre eux profitent et usurpent le prestige de l’Eglise –dont ils ne sont pas- pour jouir de plaisirs coupables, abominables, criminels, ajoutant au parjure et à l’hérésie, la démonstration publique de leurs penchants contre-nature et leur avidité pour les richesses matérielles. C’est ainsi que nous voyons nos augustes cathédrales, en plus d’être occupées par ces infâmes, réduites à des temples de la consommation, où l’on fait déambuler quotidiennement toutes sortes d’individus profanes, qui finalement, ne sont pas moins dénudés intérieurement que la blasphématrice et dégénérée Déborah de Robertis.
Il semble que les architectes de la révolution moderniste, ainsi que les chefs réels, occultes ou visibles, de la secte Vatican 2, se soient fourvoyés au point de penser qu’ils pouvaient tromper Dieu. Au point de croire qu’ils tirent leur pouvoir d’eux-mêmes. Dieu seul permet ces choses afin qu’il soit manifeste à tous les hommes de bonne volonté, que cette abominable secte n’est pas l’Eglise catholique. Il est certain que ces scandales ne cesseront de croitre, car la secte est désormais prise à son propre piège, encerclée et bientôt dépassée par le modernisme et le progressisme qu’elle confesse publiquement. Si ces chiens d’hérétiques connaissaient la sagesse de Dieu, ils croiraient en Lui et ils sauraient le sens de cette parole du Seigneur, Loué soit-Il :
Jésus les appela, et leur dit sous forme de paraboles: Comment Satan peut-il chasser Satan ? Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c’en est fait de lui. Personne ne peut entrer dans la maison d’un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort; alors il pillera sa maison. Je vous le dis en vérité, tous les péchés seront pardonnés aux fils des hommes, et les blasphèmes qu’ils auront proférés; mais quiconque blasphémera contre le Saint-Esprit n’obtiendra jamais de pardon: il est coupable d’un péché éternel. – Marc 3 ;23-29
Que ces insensés, qui ont cru et pensent encore pouvoir impunément profiter, non seulement d’un pouvoir terrestre, mais ont également l’invraisemblable audace d’usurper le seul pouvoir spirituel qui n’appartient qu’à l’Epouse immaculée, méditent aussi cette parole :
Parce que, étant les ministres de sa royauté, vous n’avez pas jugé avec droiture, ni observé la loi, ni marché selon la volonté de Dieu terrible et soudain, il fondra sur vous, car un jugement sévère s’exerce sur ceux qui commandent. Aux petits, on pardonne par pitié; mais les puissants sont puissamment châtiés. Le souverain de tous ne reculera devant personne, il ne s’arrêtera par respect devant aucune grandeur; car il a fait les grands et les petits, et il prend soin des uns comme des autres. Mais les puissants seront soumis à une épreuve plus rigoureuse. – Sagesse 6;4-8
Ainsi, si Dieu veut, la secte apostate recevra dans ce monde et avec l’esprit de ce monde, une part du salaire de son impiété et de son crime. Car la secte moderniste, qui prit le pouvoir dans les années 1958 à 1968, précisément en pleine révolution anti-morale, a commis le double crime, non seulement d’usurper le nom de l’Eglise de Dieu -abomination absolue- mais en plus, en ce faisant, a gravement mis en péril des millions d’âmes dans le monde qui auraient précisément eu besoin de l’enseignement catholique le plus strict, au moment même où, en 1969, coïncida le déclenchement de la 3e révolution « sexuelle », ainsi que l’instauration, vaine, mais sacrilège, des faux sacrements de Paul VI. Que Dieu nous estime suffisamment dignes, un jour, si nous le méritons toutefois, de nous saisir nous-mêmes des impies et de les extirper de ce monde, à l’exemple de Mattathias et de Saint Ferdinand de Castille. Quoi qu’il advienne, il est certain, à moins d’un profond repentir avant que leur dernier soupir arrive, que les gens de ce monde, ceux de la société ou ceux de la secte, sont, hélas, promis aux plus ardentes flammes des enfers. Et nous, il ne nous est certainement pas permis de demeurer cois et de ne pas prévenir le monde, par réel amour des hommes, afin qu’ils ne se damnent pas.