Stupéfiante découverte que nous a partagé hier notre frère catholique américain du site ProcInctu. Deux livres respectivement parus en 1981 et 2008 semblent décrire des données très similaires à l’actuelle épidémie de Coronavirus. Le premier livre, « The Eyes of Darkness » est de l’écrivain américain Dean Koontz, paru en 1981 et réédité en 1989. Le second livre, « End of Days« , est paru en 2008, écrit par la « médium » américaine Sylvia Browne.
For the conspiracy theorists out there… A friend sent this tidbit to me… #coronavirus #Covid_19 #COVID2019 what do you think?? Book from 1981… pic.twitter.com/7s9fLewPgr
— Procinctu (@TheProcinctu) March 14, 2020
En 1981, l’auteur à succès Dean Koontz publie sous pseudonyme le livre « The Eyes of Darkness« , lequel deviendra un best-seller. Dean Koontz se spécialise dans le genre thriller, polars et autres romans de science fiction.
Le livre raconte l’histoire d’une mère qui envoie son fils à une randonnée en montagne, avec un guide expérimenté. Néanmoins, tous les participants de l’excursion meurent les uns après les autres sans explication. Après la mort de son fils, la mère semble être harcelée par d’étranges messages paranormaux lui indiquant que son fils n’est pas mort. Avec un ami, elle décide alors de mener l’enquête.
Ce qui nous intéresse ici, c’est le passage suivant que nous vous avons traduit :
Ils l’appellent « Wuhan-400 », car elle fut développée dans les laboratoires RDNA dans les environs de la ville de Wuhan. Il s’agissait de la 400e souche viable de micro-organismes d’origine humaine créée dans ce centre de recherche. Le Wuhan-400 est l’arme parfaite. Elle ne touche que les êtres humains. Aucune autre créature ne peut en être infectée. Le Wuhan-400 ne peut survivre hors d’un organisme humain vivant pendant plus d’une minute, ce qui signifie qu’il ne peut contaminer de façon permanente des objets ou des lieux de la même façon que l’anthrax ou d’autres micro-organismes virulents.
Notons que le terme « Wuhan-400 » n’apparaît que dans la réédition de 1989. Dans l’édition originale de 1981, le nom du virus était « Gorki-400 ».
Dans le livre « End of Days » de Sylvia Browne, paru en 2008, un passage fait également froid dans le dos :
Vers l’année 2020, une maladie grave, semblable à une pneumonie, va se répandre sur le globe, attaquant les poumons, les bronches, et résistant aux traitements connus. Plus surprenant encore que la maladie elle-même sera le fait qu’elle disparaitra aussi soudainement et rapidement qu’elle apparut, avant de réapparaitre 10 ans plus tard, avant enfin de disparaitre totalement.
Nous ne sommes guère adeptes du complotisme à tout crin. Néanmoins, il est difficile de ne pas être fasciné par les occurrences indéniables de ces quelques extraits. La date, le lieu, le type d’infection. Simple hasard ou coïncidence suspecte ? S’agit-il de nouveaux cas de predictive programming ? Ce ne serait pas la première fois : la culture moderne, notamment dans le cinéma, nous en ayant donné de nombreux exemples.
Comme nous l’avions évoqué dans notre dernière émission sur FIDE TV, d’aucuns spéculent sur les activités douteuses de la puissante firme pharmaceutique Wuxi PharmaTech, et sur son possible rôle dans le développement d’une souche virale ayant possiblement conduit au développement du COVID19. Le fait que cette firme de 14000 employés soit détenue par Georges Soros, et que ses locaux à Wuhan soient précisément situés au 666 Gaoxin Road East Lake, suffisent à faire naître les spéculations les plus folles. Les esprits les plus audacieux voient là une vaste et criminelle manigance de guerre biologique contre les populations, dans le but de les contrôler par la peur, leur faire accepter des mesures liberticides et les contraindre à se faire administrer des vaccins douteux.
De leur côté, quelques journalistes zélés ayant repéré la rumeur, se sont lancés dans un classique exercice de « debunkage », pour le coup très malhonnête, avec des arguments très pauvres. Les complotistes et les anti-complotistes ont souvent en commun une forte propension à la simplicification excessive des données.
Quoiqu’il en soit, l’épidémie de coronavirus est bien réelle, elle frappe de mort et la situation est de plus en plus inquiétante en Europe, comme ailleurs dans le monde. Sans être complotiste, il faut se protéger face à cette menace sanitaire réelle, redouter également l’incompétence crasse de nos dirigeants et rester méfiants face à d’éventuelles opérations de vaccinations massives.