On peut être surpris par la soumission parfois délirante et plus que zélée des plus grands chefs d’états jusqu’aux derniers sous-fifres médiatiques ou aux plus insignifiants ambitieux politiciens, à la puissance sioniste et à son roman national, historique et idéologique. Il faut bien sûr y inclure dedans, les chefs de la secte moderniste, qui, comme nous le savons, ont l’audace d’enseigner que les sionistes et autres sorciers du talmud, ont encore part en Israël, ce qui est une flagrante et odieuse hérésie doublée d’un crime contre le salut des âmes de ces égarés. On a vu notamment les antipapes, depuis Jean-Paul II jusqu’à François, non contents d’aller prier avec ces juifs hérétiques, se rendre en Terre Sainte occupée pour y adorer le « mur des lamentations » ou pour se prosterner devant le mémoriel holocaustique (dont l’intention est clairement d’effacer le Sacrifice du Messie et de se proclamer eux-mêmes peuple-messie) et baiser la main des pires criminels sionistes.
Or, la franc-maçonnerie, qui est tout entièrement issue des spéculations para-kabbalistiques de quelques cercles d’apostats dégénérés des XVIIe-XVIIIe siècles, conclut dans ses doctrines supérieures, à fur et à mesure des degrés, que les juifs apostats sont une race-prêtre biologiquement supérieure (conformément au Talmud et à la Kabbale) et formée pour gouverner les grandes destinées de ce fameux Ordre Mondial actuel. Ces derniers jours, j’ai publié quelques commentaires sur cette période actuelle de l’année que les juifs talmudiques appellent Roch Hoshana. Nous arrivons aujourd’hui à la veillée du Yom Kippour. Pour l’oeil de l’occidental impie, dans les médias, chez les super-nationalistes sauveurs de la « race blanche » (identitaires, laïcards « islamophobes », Lepenistes, faux catholiques à la Bernard Antony, etc.), on va certainement se confondre d’éloges pour ces braves et inoffensifs hérétiques, si admirables par leurs actuelles démonstrations (hypocrites et ostentatoires, comme nous l’avait dit NSJC en Matthieu 6;5 et comme nous allons le comprendre) de pénitences, de purifications, de jeunes et de prières.
Je vous ai parlé il y a quelques jours de la pratique de Kaparot, qui consiste à faire tourner autour de sa tête ou de la tête de quelqu’un d’autre, un poulet vivant tout en récitant toutes sortes d’invocations, afin « d’attirer des bénédictions ». Sachez en premier lieu que cette pratique pathétique est tout droit issue du Talmud babylonien, et pour cause, il ne s’agit évidemment pas d’une pratique biblique de l’Ancien Israel des Saints Patriarches, mais bien d’une invention des juifs apostats de notre ère, qu’ils ont clairement copié chez les nations, en l’occurrence auprès des mages païens de Mésopotamie. Il s’agit ici de « transférer » ses péchés dans le poulet qu’on agite au-dessus des têtes. Il s’agit ni plus ni moins de magie noire, à la manière du voudou des païens d’Afrique de l’ouest. Même Nachmanide, ainsi que le Rabbin Joseph Karo admirent en leur temps que cette pratique était directement inspirée des pratiques des païens émorites.
Yom Kippour, ses fausses pénitences et le rite du Kol Nidrei
Pour revenir à Yom Kippour, vous verrez ces juifs se lancer dans d’apparentes confessions dans le rite du Viduy, lequel comprend le Ashamnu et le Al het, qu’ils vont réciter de façon robotique et exaltée. Comprenez bien que ces « confessions » ne sont que de la poudre aux yeux et ne sont que du spectacle, car le Al Het est en fait une sorte de catalogue de péchés que le juif récite comme une litanie complète, peu importe qu’il soit lié ou non lui-même à tel ou tel péché. Cela n’a donc absolument rien d’une confession personnelle, telle que nous l’entendons dans la Sainte Religion. Toutefois, c’est à l’occasion de ce vain bavardage que, toujours très démonstratifs, ils se frapperont à de nombreuses reprises la poitrine, puis ils lanceront la prière Avinu malkenu (supplication) et l’Alenu (Kaddish des peines). Pendant cette veille du Yom Kippour, est récité le fameux Kol Nidrei. Il s’agit de l’une des démonstrations les plus éclatantes de l’hypocrisie de ces « juifs » qu’il faudrait plutôt qualifier de païens diaboliques et d’usurpateurs. Le Kol Nidrei est un rituel qui permet au juif talmudique de s’absoudre lui-même (bitul tenai) de toute parole, contrat, promesse, qu’il fera à quiconque pendant l’année à venir, sans craindre aucune peine de parjure devant le Ciel, que ces infects hérétiques pensent obtenir, ainsi obstinés dans leurs abominables sectes. Le Kol Nidrei est notamment codifié dans le Talmud babylonien, Nedarim 23a et 23b. Notez cette subtilité toutefois : il s’agit d’une auto-absolution anticipée pour des mensonges et des parjures à venir, et non une auto-absolution de mensonges et de parjures passés, c’est pourquoi je vous précisais plus haut que ces rituels et prières grandiloquentes de Yom Kippour ne sont essentiellement, que des incantations et déclamations parfaitement inconséquentes du point de vue du sujet. De même, Kallah 51a est une autre source utilisée par les rabbins pour justifier le mensonge « savant » : ils vont jusqu’à affirmer que les mensonges les plus sournois plaisent à « Dieu ». Notons par ailleurs, que les « goyim » les plus soumis à ces juifs et au sionismes, y compris beaucoup de « catholiques » conciliaires, sont souvent obsédés par le péril islamique et les esprits les plus faibles parmi eux sont souvent hystérisés par la fameuse « taqqiya » islamique. Mais le mahométantisme (qui n’est pas moins une hérésie affreuse que nous avons maintes fois exposée), est précisément, comme nous l’avons dit par ailleurs, partiellement et très nettement inspirée de doctrines talmudiques et kabbalistiques, non seulement dans ses sources originelles, mais aussi chez ses docteurs les plus réputés. Tout comme le « halal » n’est qu’une reproduction de la kasherout talmudique, la taqqiya islamique est largement fondée dans les doctrines des juifs impies. Est-il besoin de préciser enfin que ces rites du judaïsme talmudique, comme bien d’autres, n’ont absolument aucun fondement biblique, de leur propre aveu ? Ils le reconnaissent dans Mishnah Hagigah 1:8(a), de même que leur grand maître Maïmonide, dans Mishneh Torah, Sefer Haflaah, Hilkhot Shevuot 6:2 : « L’absolution des promesses n’a aucune base dans la Torah écrite ».
Nous savons qu’ils sont bien les enfants du père du Mensonge, ainsi que l’atteste Notre Seigneur Jésus-Christ dans Jean 8 ;43-45 :
Pourquoi ne reconnaissez-vous pas Mon langage? Parce que vous ne pouvez entendre Ma parole. Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, et vous voulez accomplir les desseins de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et n’est point demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a point de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur et père du mensonge. Et moi, parce que Je vous dis la vérité, vous ne Me croyez pas.
Les juifs apostats de ces sectes talmudiques ou kabbalistes, qu’ils soient « libéraux » ou « orthodoxes », sont bien tels que l’a décrit le Divin Messie dans Apocalypse 2 ;9 :
Je connais ta tribulation et ta pauvreté, – mais tu es riche, – et les Insultes de ceux qui se disent juifs et ne le sont pas, mais bien une synagogue de Satan.
De même que dans Apocalypse 3 ;9 :
Voici que Je te donne quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais ils mentent; voici, Je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que Je t’ai aimé.
Frères catholiques, priez pour la conversion des juifs impies !