Publié il y a quelques jours, notre article « 7 effets inattendus du coronavirus dont personne ne parle » a connu un succès considérable. Il demeure l’article le plus consulté cette semaine. Dans cet article, nous partagions l’avis d’une association pro-vie irlandaise qui se réjouissait du fait qu’en raison de la crise sanitaire liée à l’épidémie de coronavirus, les cliniques abortives et autres services hospitaliers habituellement consacrés à ces pratiques abominables, étaient pour la plupart réquisitionnées pour les besoins de l’urgence actuelle, générant ainsi une chute considérable des opérations d’avortement programmées.
Jusque là, nous n’avions pas de sources primaires précises pour confirmer le sentiment selon lequel la crise sanitaire actuelle avait mis un coup d’arrêt au grand génocide abortif moderne. C’est désormais le cas. La confirmation nous parvient de la politicienne socialiste et féministe Laurence Rossignol, actuellement sénatrice de l’Oise.
En France, il semble donc qu’un grand nombre d’avortements ne peuvent se faire en raison de la crise sanitaire du Coronavirus. Les services sont saturés et les restrictions de circulation à l’intérieur et à l’extérieur du territoire rendent très difficile l’accès à des cliniques abortives pour les femmes ayant l’intention de commettre un crime irréparable que beaucoup regretteront amèrement par le suite. C’est un bien immense à tirer de ce grand malheur qu’est l’épidémie. Hélas, ce serait oublier que ce pays est largement dominé par des politiciens au service du démon.
En effet, les féministes criminelles, Mme. Rossignol en tête, s’activent actuellement pour que le Sénat force les cliniques à reprendre les meurtres d’enfants en allongeant la durée légale de l’IVG. C’est ainsi que Mme. Rossignol, en pleine crise sanitaire, a présenté au Sénat un amendement au projet de loi « Urgence Covid 19 » visant « à permettre au gouvernement d’allonger de deux semaines les délais légaux et de supprimer l’exigence d’une deuxième consultation pour les mineures ». En somme, constatant que « des services d’orthogénie constatent que les restrictions de circulation à l’intérieur et à l’extérieur du territoire français combinés aux bouleversements de l’activité hospitalière fragilisent les conditions d’accès à l’IVG et renforcent les inégalités territoriales », cet amendement souhaite ajouter à l’article 7 de la loi « Urgence Covid 19 » l’article suivant : « Par dérogation aux articles L. 2212-1 et L. 2212-7 du code de la santé publique, jusqu’au 31 juillet 2020, l’interruption de grossesse peut être pratiquée jusqu’à la fin de la quatorzième semaine de grossesse ».
De leur côté, les féministes font également pression, même si leur pouvoir de nuisance est quelque peu diminué par la situation présente.
Les médias ne cessent chaque jour de faire le décompte morbide des cas et des décès liés au coronavirus 2019, dont le décompte se porte à plus de 8000 morts dans le monde actuellement, mais personne ne rappelle qu’entre Janvier et Mars 2020, ce sont plus de 7 millions d’enfants innocents qui ont été assassinés dans le ventre de leurs mères à l’échelle mondiale. Comparez cela avec le nombre de personnes mortes sur une période de 6 ans dans les camps de concentration pendant la seconde guerre mondiale.
Ces chiffres écœurants et l’actuelle crise sanitaire n’empêchent pas les médias dégénérés de continuer à promouvoir les assassinats d’enfants au nom de la « santé des femmes », comme le déplore le site américain National Review et le media catholique LifeSite. Ce site féministe réclame par exemple des mesures exceptionnelles, comme le droit à pratiquer le « téléavortement », c’est à dire l’avortement à domicile. Pire encore, les mêmes médias mainstream accusent Donald Trump d’avoir mis en danger la recherche d’un traitement contre le coronavirus, car le président américain a interdit l’utilisation de tissus issus de fœtus dans la recherche médicale.
Alors que cette crise sanitaire mondiale devrait être le moment propice à ce monde impie pour amender ses crimes et se tourner enfin vers Dieu, il semble au contraire qu’il ne cesse d’alourdir la somme de ses abominations et d’attirer de nouvelles malédictions sur sa tête.
UPDATE : Suite à l’activisme de Mme. Rossignol, le ministère de la sante, ainsi que Jérôme Solomon (lequel est en partie responsable de l’actuelle catastrophe sanitaire), ont promptement communiqué en affirmant que l’accès à l’IVG, qualifié de « soin urgent », restera assuré. Voici qui en dit long sur l’état d’esprit de nos actuels gouvernants.
Comme vient de le rappeler Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, l’accès à l’#IVG doit être assuré. @leplanning vous accompagne dans votre accès à ce droit au 0 800 08 11. https://t.co/mDN78nkZaw
— Le Planning Familial (@leplanning) March 20, 2020
Prions pour que ces infects mécréants voient leurs plans échouer et que tous ces enfants puissent venir au monde !