Ingratitude infecte et odieuse. Depuis lundi 2 mars, les archives du Vatican sur le pontificat du pape Pie XII sont ouvertes aux chercheurs. Les premières déclarations d’un historien du Saint-Siège, qui assure que ces documents témoignent du rôle protecteur de Pie XII vis-à-vis des juifs italiens, ont provoqué l’indignation du grand rabbin de Rome.
« Après avoir dit qu’il faudrait des années d’études pour analyser ces documents, on publie de telles affirmations dès le premier jour ? De grâce, laissez travailler les historiens ! » Cette réflexion courroucée du grand rabbin de Rome, Riccardo Di Segni, constitue la première controverse autour de la toute récente publication des archives sur le pontificat de Pie XII. Ouverte à la consultation des historiens, lundi 2 mars, leur révélation doit faire la lumière définitive sur l’attitude du pape pendant la Seconde guerre mondiale.
Alors que les spécialistes estiment à au moins cinq années, le temps de travail nécessaire pour tenter d’élucider les questions en suspens, Johan Ickx, directeur des archives historiques du Vatican, a donné, au lendemain de la publication des documents, un avant-goût des découvertes mises à la disposition des historiens.
Dans un entretien au journal officiel du Vatican occupé, l’archiviste affirme que nombre de documents témoignent du rôle protecteur de Pie XII vis-à-vis des juifs italiens.
« 170 dossiers présentent les histoires de 4 000 personnes qui ont demandé de l’aide au Saint-Siège au moment de la Seconde Guerre mondiale. Il y a parmi ces noms une majorité de catholiques d’ascendance juive, mais aussi de nombreux noms de juifs », a souligné Johan Ickx.
Selon lui, « les archives vont permettre de comprendre la quantité et la qualité des efforts fournis par le Vatican pour répondre aux prières des persécutés et des personnes dont la vie était en danger ».
Le grand rabbin de Rome s’est, en réponse, indigné face ce qu’il a perçu comme un « sensationnalisme très suspect ». Le rabbin Riccardo Di Segni a mis en garde contre les « conclusions faciles » accompagnant l’ouverture des archives, et a demandé de « laisser les historiens faire leur travail ». D’autant que, pour le responsable religieux juif, « ces révélations risquent de se retourner contre ceux qui veulent blanchir Pie XII à tout prix car il est clair qu’il n’y a eu aucune volonté d’arrêter le train du 16 octobre 1943 », qui déporta plus de 1 023 Juifs du ghetto de Rome vers Auschwitz. « Le Vatican n’était venu en aide qu’aux personnes d’origine juive baptisées », prétend le grand rabbin de Rome.
Cette sortie ingrate, mensongère et odieuse montre bien la malhonnêteté et l’audace des juifs talmudiques. Chacun sait pourtant, et de très nombreux ouvrages l’ont amplement prouvé, que le pape Pie XII a notoirement contribué au sauvetage de plusieurs milliers de juifs en les faisant cacher dans des institutions religieuses de Rome sous l’occupation allemande. Lire à ce sujet « The Pope’s Jews : The Vatican’s Secret Plan to Save Jews from the Nazis » de Gordon Thomas.
La prudence diplomatique verbale du pape, dans la dénonciation des exactions nazies, a évité des représailles du régime hitlérien envers les catholiques et juifs en Europe. L’œuvre du pape Pie XII fut telle qu’en 1945, le grand rabbin de Rome se convertit au catholicisme et choisit de s’appeler « Eugenio Pio », en hommage au pape Pie XII pour son action en faveur des Juifs de Rome pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le grand rabbin actuel ferait bien de s’inspirer de son prédécesseur et de se convertir à son tour à la Sainte Religion.
On sait que la plupart des démocraties occidentales ont criminalisé tout travail historique qui chercherait à contredire certains dogmes concernant certains évènements de la 2e guerre mondiale, ceci à tel point que de nombreux historiens ont subi l’exil ou la prison, simplement pour avoir fait leur travail d’historiens. Cette législation exceptionnelle, qui a fait de la shoah un culte holocaustique abominable, est particulièrement sévère en France ou en Allemagne.
Lorsque les catholiques reviendront au pouvoir à Rome et en France, par la grâce de Dieu, il sera temps d’instaurer à notre tour de sévères lois contre les vrais négationnistes : ceux qui nient la Messianité et la divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ.
On attend aussi de savoir si François osera traiter ses bons amis talmudistes romains « d’hypocrites » comme il aime à le faire avec les catholiques traditionalistes.